CONCOURS LITTÉRAIRE JIPIBOUM AVEC PETIT CADEAU !

Oui, je vois comment faire. J'avoue humblement que j'ai dû lire quelques fois les conditions de participation pour bien tout mémoriser.
Heureusement que l'âge n'en fait pas partie et qu'il y en a déjà qui ont mis le turbo.
Peut-être pour gagner le cadeau (un paquet de farine pour la chandeleure ?)
Moi, je prends mon temps jusqu'à la dernière minute (comme du temps de mes examens).
A +
Redwall

Ne vous formalisez pas avec ces contraintes qui font plaisir à certains et moins à d'autres ! Le principal est de s'amuser ! C'est tout ! Surtout ne pas se prendre la tête ! Et on est parfois étonné de voir que ceux ou celles qui expriment de crainte de ne pas être à la hauteur sont parfois ceux et celles qui produisent le plus beau ! De toutes façons vous avez encore huit jours et des miracles peuvent se produire en huit jours !!!

Marie j'aime ton texte, sale bête! ce perroquet!

Et puis cette Claudine qu'elle peste, elle était parvenue à faire du charme même au perroquet!

Heu, je sais pas si c'est l'âge ou le fait que je sois blonde, mais il a pas de nom le zoziau? :lol:

je préconise qu'elle lui torde le cou, en prenant soin de l'envelopper dans une grosse serviette de bain pour l'empêcher de mordre.
En plus avec la grippe aviaire qui court, dit lui d'aller se faire examiner au plus vite.

Merci Mireille je vais réfléchir car pour tout te dire j'adore les oiseaux mais n'ai pas un franc penchant pour les perroquets source de bien des ennuis

Voici mon texte. Maintenant je vais pouvoir aller lire les autres.
S'il s'avère qu'il y a un problème avec "vagues", je modifierai...

— Mais ma parole, tu deviens folle ! Pourquoi ces cris hystériques ?
— J’ai sué sang et eau dans le jardin toute la semaine et l’orage a tout détruit en l’espace d’un instant !
— Ne hurle pas comme ça, tu verras ça de plus près à la lumière du jour, ce n’est peut-être pas aussi catastrophique que tu le crois, retourne plutôt te coucher…
— Ma serre est abîmée, on voit la déchirure dans le toit(1) d’ici !
— Mon Dieu, quelle passion ces fleurs ! Je vais te masser un peu le dos, tout ton corps est crispé, tu auras du mal à te rendormir…
— Ce ne sont pas tes vagues caresses qui y changeront quelque chose… Oh, arrête, lâche-moi, et puis laisse-moi tranquille, va-t-en !
— Eh, calme-toi, je n’y suis pour rien !

(1) Il s'agit d'une serre en plastique...

Maintenant que je suis allée lire ce qui précéde, je constate d'une part que je ne suis pas la seule à avoir utilisé "vague" comme adjectif, et d'autre part qu'il fallait l'utiliser en tant que nom (mais ce n'est toujours pas dans le règlement , le fait que soit écrit "tous des noms" ne signifiant pas qu'il faille absolument les utiliser ainsi).
Faut-il retoucher ?

Merci pour ta participation Sylvie !

Effectivement l'intention de départ que j'ai ajoutée dans le règlement est bien de n'utiliser que des noms : « Les douze mots (ce sont des noms) sont... ».

Donc ce serait préférable de n'avoir que 12 noms ou substantifs !

Maintenant... je ne sais pas si tu vas pouvoir modifier tout ton texte pour cette entorse. Il ne faut pas y passer des heures non plus : ce n'est qu'un jeu !

À toi de choisir... je commenterai après ton choix !

Le voilà revu et corrigé !

— Mais ma parole, tu deviens folle ! Pourquoi pousses-tu de tels cris ?
— J’ai sué sang et eau dans le jardin toute la semaine et l’orage a tout détruit en l’espace de quelques minutes !
— Depuis le temps que dure cette vague de chaleur, il fallait que ça éclate ! Mais ne hurle pas comme ça, tu verras ça demain à la lumière du jour, ce n’est peut-être pas aussi catastrophique que tu le crois, retourne plutôt te coucher…
— Mais tu ne te rends pas compte, même ma serre est abîmée, on voit la déchirure dans le toit (1) d’ici !
— Mon Dieu, quelle passion ces fleurs ! Je vais te masser un peu le dos, tout ton corps est crispé, tu auras du mal à te rendormir…
— Oh, arrête, je n’ai pas besoin de tes caresses, laisse-moi tranquille, va-t-en !
— Eh, calme-toi, je n’y suis pour rien !

(1) Il s'agit d'une serre en plastique

Merci Sylvie pour ta participation !

1) Le mot jardin n'est pas mis en caractères gras : trouvé après recherche !
2) Texte correct sans aucune faute d'orthographe !

3) Première impression : il manque peut-être un ton un peu original, mais je n'en dis pas plus pour le moment !

Eh oui ! jardin était en gras dans le premier texte pourtant !
Pas fait assez attention dans le deuxième !
Désolée !
Ferai mieux la prochaine fois !

Pas grave Sylvie !

J’ai rêvé d’un corps qui n’aurait pas besoin de passer par la vie. J’ai rêvé d’un sang qui n’aurait pas besoin de me passer sur le corps. J’ai rêvé d’une lumière qui soit comme une déchirure, comme le cri d’une passion sans orage.
Mes paroles sont comme des vagues. Elles vont et viennent sur la plage de ta conscience. Je te caresse, j’aspire à l’espace, je rêve à nos corps... Le matin, je me retrouve, plus ou moins épars, au fin fond du jardin de notre délire...

Mes yeux se posent sans passion ni parole sur son visage, là où se trouve le double pont au-dessus de ses yeux de Tibre sombre où se reflètent les lumières des quais sous l’orage. Quand en parlant il me regarde, son Tibre rejoint le mien sans heurt. C’est le même fleuve, où mon cœur se noie sans crier gare, sans crier grâce. Je nous vois dans un jardin, près d’un lac, marchant côte à côte. Fascinée par la compréhension que j’aurai de lui, par les mots qu’il disposera sur le temps, je voudrai aller jusqu’à son cœur réparer les déchirures familiales qui le font souffrir, sans un cri, et ajoutent un air dramatique à l’angle de son menton et de sa bouche quand il dit : « Ce n’est pas grave ». Il me parlera, et soudain replongera dans le silence, mouvementé par la vague qui débordera de mes yeux. Alors, doucement, je lui prendrai la main. Tout son corps frissonnera sous le sang du soleil et sous mes doigts, tous deux dansant maladroitement sur les reliefs difficiles de ses clavicules et sur les figures géométriques dessinées par ses muscles médiaux. Enfin, je poserai mes lèvres sur son cou et me détacherai, lentement, sentant la caresse de sa joue sur la mienne : « À toi, j’offre, l’espace d’un instant, les clés de mon âme ; mais si tu les prends, je t’en fais présent ».

je suis peut etre schizo, mais en fait j'aime beaucoup le texte de laurencja, que je trouve mille fois supérieur au mien. et je te trouve dur jipi, les "où" ne me gênent pas. c'est une question de musicalité. il y a les lois de la syntaxe d'un côté, et la musique de l'autre...

Je dois avoir une extension de chaire en forme de boyau de la rigolade, car pour l'instant je préfère l'histoire du perroquet :lol:

rem a écrit:

je suis peut etre schizo, mais en fait j'aime beaucoup le texte de laurencja, que je trouve mille fois supérieur au mien. et je te trouve dur jipi, les "où" ne me gênent pas. c'est une question de musicalité. il y a les lois de la syntaxe d'un côté, et la musique de l'autre...

Dur ? Relis mon texte... j'ai parlé d'un beau texte et ai souligné ses qualités (trois ou quatre allusions !) Mais bon... Laurencja qui me connaît bien () sait que je peux être un peu exigeant !!! Et le passage que je cite crée une petite gêne sur le plan rythmique ! Mais à côté de la qualité du texte c'est un détail ! T'inquiète pas elle entre dans la sélection !!!
Maintenant j'observe, je signale seulement de petites choses ! Je réfléchis beaucoup, mais pas trop quand même !!! Je prévois le casse-tête douloureux :lol:

Mireille a l'esprit rigolade pour le moment ! Enfin... cela dure depuis quinze jours !!! :lol:

Je vois TB Jipi ce we en train de plancher sur tous les textes... surtout qu'il y en a qui vont poster à la dernière minute

Courage

Laurencja

Merci Laurencja ! En fait la clôture du concours est le lundi 6 février à 18 heures !
Après je planche !!!

PLUS QUE 72 HEURES !


N'HÉSITEZ PAS À TENTER VOTRE CHANCE... WAGGA2 IL ME SEMBLE QUE TU AVAIS PRIS UNE SEMAINE DE VACANCES POUR LE CONCOURS !

:lol:

Laurencja a écrit:

Je vois TB Jipi ce we en train de plancher sur tous les textes... surtout qu'il y en a qui vont poster à la dernière minute

Courage

Laurencja

Voici comment j'imagine la chose :lol:

Bientôt ce sera toi qui auras la parole,
Mais avant, malheureux, il te faudra plancher.
L’espace d’une nuit, il te faudra chercher,
Le corps las et l’esprit qui peu à peu flageole.

Ah ! tu l’auras voulu, la passion t’affole,
Et tu sues sang et eau. Au lieu de te coucher,
De goûter la caresse des draps, sans flancher,
Sans un cri, tu devras, en bon maître d’école,

Recommencer sans fin la pénible lecture…
Choisir ? Comment choisir ? Atroce déchirure,
Dilemme cornélien ! Et comme en un jardin

L’orage en un instant creuse des fondrières,
Une vague de peur te saisira soudain…
Courage, avec le jour, jaillira la lumière !

C.

Superbe Callinira ! Un poème qui me fait rire et en plus avec les mots imposés ! Prouesse pour laquelle je te félicite !
Tu as raison : je ne vais pas beaucoup dormir ! :lol:

très drôle Callinera j'ai bien aimé !!