Une année 2009 plus positive !

Voilà : projet lancé ce dimanche 18 janvier 2009 !

Voir courrier annoncé à chaque membre.

Les échanges commenceront le 18 février 2009 dans le salon LITTÉRATURE ET LANGAGE (SUJET PRÉPARÉ ET OUVERT LE 18 FÉVRIER).

MERCI D'AVANCE POUR VOTRE PARTICIPATION !

Super ! J'ai commandé le livre et je l'attends avec impatience.

J'espère que d'autres participeront à cette lecture collective.

On peut savoir qui est partant ?

Bien John ! Yugcib vient de l'acheter ce jour...

Je n'en serai pas.

Je n'en serai pas non plus (et m'en suis expliqué) mais n'en souhaite pas moins bon vent aux participants...

Heureux de voir que ma petite proposition a fait son chemin.

Mais quel dommage que Laurel & Hardy n'y participent pas ! :lol:

... Tiens, tiens!... Et qui sont ces "Laurel et Hardy"? ça me fait penser à "Dino et Charley", ce couple qu'on voit parfois dans l'émission "Le plus grand cabaret du monde", de Patrick Sébastien...
... Mais ces gens là sont des comiques! Et les littéraires ou les écrivains... ou tout simplement les gens que nous sommes dans les forums, tels que nous apparaissons par nos écrits, sont aussi, parfois, des comiques... Ou des duellistes.

Jean-Pierre Poccioni a écrit:

Sans vouloir vexer Yugcib, cette "idée" est connue et utilisée sous mille formes par mille clubs, associations, cercles, groupes, tous dits de lecture.

J'ai même en tant qu'auteur été invité par certains de ces groupes qui souhaitaient me demander mon avis sur telle ou telle action de tel ou tel personnage. C'est souvent sympathique pour l'auteur mais le lecteur que je suis n'y trouverait pas son compte.

Donc libre aux membres de Passion des Mots de créer un club de lecture de plus mais...sans moi !

Je suis le contraire d'un homme de cercle ou groupe et n'ai jamais fait partie d'une réunion de la sorte. ( en fait d'aucune réunion !)

Peut-être parce que je pense comme Brassens que quand on est plus de quatre...

Mais surtout parce que je crois à l'individu et que la culture est un sillon que l'on creuse seul ou avec quelques amis. Faire partager les trouvailles oui. Creuser en troupeau non !

Honnêtement, Jean-Pierre, j'ai beau lire et relire ces phrases et je ne comprends pas où est le problème. Bien sûr je respecte ton choix et je ne cherche nullement à te faire changer d'avis mais j'aime comprendre, donc je me permets (modestement) de t'interpeller.

En quoi le fait de décider de lire le même livre (chacun dans son coin) puis d'en discuter ensemble sur ce forum (avec fort de peu de personnes, en somme) peut-il nuire à l'individu qui creuse son sillon culturel ???

Tu as bien jadis relu le Mage de Fowles pour pouvoir en discuter avec moi sur ce même forum. Pourquoi est-ce plus difficile pour toi d'accepter l'idée de lire un livre proposé par Jipi pour ensuite en discuter avec 5-6 personnes, avec lesquelles tu échanges régulièrement des points de vue depuis des mois? Il n'est pas question ici de club de lecture qui va proposer un livre tous les mois, ce n'est au fond qu'une petite expérience entre forumistes.

Ma question s'adresse à Gosayn également.

Si vous la trouvez indiscrète ou inopportune, pas de problème, ne répondez pas, je ne m'en vexerai pas.

John,

Je n'ai rien à ajouter à ce que j'ai dit qui est parfaitement clair.

Parfaitement clair pour toi mais pas pour moi, sinon je ne poserais pas cette question au risque de passer pour un idiot. Mais soit, je n'insisterai pas.

Passer pour un idiot ? Quelle curieux complexe !

Mais non. En réalité tout est très simple:

Premièrement je suis rétif à toute dépendance et il n'y a aucun rapport entre ma réaction lisant Fowles ( j'aurais aimé que certains membres lisent de même les livres dont j'ai parlé...) et ce côté club de lecture, cercle de lecteurs...

Par ailleurs j'ai l'intime conviction, et j'en juge par une fréquentation de Passion des Mots assez ancienne, que la montagne va accoucher d'une souris. Passion de la discussion peut-être, de la littérature et de la lecture, j'en doute...

Cela dit, je préfère ta question à certaines réactions ironiques aussi sottes que déplaisantes et d'une intolérance navrante.

Alors rendez-vous le 18 février pour la naissance de la souris.

Et merci quand même pour la réponse.

En ce qui me concerne, John, c'est une simple question de priorités et d'emploi du temps.

Je dois avouer que dans le cas présent je comprends la question de John à l'égard de Jean-Pierre Poccioni. Je respecte néanmoins le choix de Jean-Pierre, mais je trouve qu'il ne faut pas se compliquer la vie avec cette initiative. Que l'on soit deux ou trois, peu importe. C'est une idée très sympathique à laquelle je souscris, même si l'on peut toujours dire que rien n'est parfait et que tout est dans un sens critiquable et que... et que... On peut aussi ne rien faire, ne rien proposer !!!

Tiens un ami vient de m'envoyer le message suivant (j'espère qu'il participera à l'échange) : « J'ai dévoré Les corps perdus ! Sur internet site libération : l'auteur lit son premier chapitre. » J'attends de recevoir ce lien.

Jean-Pierre Poccioni a écrit:

Cela dit, je préfère ta question à certaines réactions ironiques aussi sottes que déplaisantes et d'une intolérance navrante.

- Monsieur Kurdy, vous êtes accusé d'ironie, de sottise et d'intolérance. Qu'avez-vous à dire pour votre défense?

- Je suppose que c'est mon "Mais quel dommage que Laurel & Hardy n'y participent pas !" qui a déplu, votre Honneur. Je l'avais pourtant fait suivre d'une sympathique émoticône :lol: censée faire comprendre qu'il s'agissait d'une bonne grosse blague, tout à l'opposé de l'ironie donc.

- Ce n'est pas la première fois que taquinez monsieur Poccioni, admettez-le.

- Je crois que nous ne partageons pas le même sens de l'humour. Si quelqu'un sur ce forum m'avait comparé à Laurel ou Hardy, j'aurais abondé dans son sens. Cela s'appelle l'auto-dérision, une forme d'humour plus anglo-saxone que latine, il est vrai.

- Vous ditez ça, mais que savez-vous réellement de l'humour de monsieur Poccioni ?

- Pas grand-chose, vous avez raison. J'ai lu deux de ses romans et j'ai été frappé par le fait qu'ils étaient totalement dépourvus d'humour. Ils ont heureusement d'autres qualités, je tiens quand même à le préciser.

- Monsieur Kurdy, ne pensez-vous pas que ces déclarations risquent d'agraver votre cas?

- Je suis déjà sot et intolérant, que peut-il m'arriver de pire ?

- ...

Je dois vous avouer, Kurdy, que je ne comprenais pas cette allusion à Laurel et Hardy et que je ne l'ai toujours pas comprise. Merci donc de me l'expliquer. Il est vrai que le style allusif peut prêter à confusion. Chacun parlant d'une manière très allusive, cela peut paraître dérangeant aux yeux d'un lecteur extérieur. Vous avez lu les deux livres de Jean-Pierre Poccioni et vous reconnaissez ses qualités ? C'est très bien. Je ne crois pas que l'humour est obligatoire dans une oeuvre écrite : il ne faut donc pas créer des amalgames entre un manque de compréhension par rapport à une forme d'humour que vous utilisez (vous parlez d'une bonne blague) et que je n'ai d'ailleurs pas compris, et son auteur et le contenu de son oeuvre. Merci de ne pas tout mélanger !!! Je crois aussi que Jean-Pierre Poccioni ne doit pas se formaliser par rapport à des marques d'humour perçues par lui comme de l'ironie blessante. Ah ! Ces problèmes de communication à distance qui n'arrangent vraiment pas les choses... Nous serions l'un en face de l'autre et j' offrirais un bon verre de vin à Jean-Pierre et à vous Kurdy... que désirez-vous boire ? Nous ririons de tant de malentendus...

J'ajoute que pour l'absence d'humour dans mes livres, ce n'est pas le point de vue que Cérésa exprime dans cet article du Figaro:

" À la page 29, on apprend qu’il s’appelle Bertin. C’est un gars ordinaire, Bertin. Il est cadre technique chez Sacopex. Ne riez pas. Sacopex, c’est en province. On dirait le nom d’une boîte dans un film de Lautner. Justement, le court roman de Jean-Pierre Poccioni est drôle. Mais dans le genre poivré, musical, un tantinet sarcastique. Ce type qui tente de s’intégrer à la vie de ses collègues d’entreprise et de se taper l’épouse à beaux seins de son copain Cyril, il faut bien le dire, c’est à la fois pathétique et révélateur.
Révélateur d’une société qui marche sur la tête. Révélateur parce que Bertin, pas vraiment blindé, plutôt sensible et rêveur, n’a aucun avenir dans cet univers de salles polyvalentes, de types qui sont des crétins et de secrétaires qui rêvent de Britney Spears. La solution ? Slalomer dans ce big bazar aux allures de Big Brother. Et M. Poccioni, lui, ensoleillé du verbe a le sens de la formule, le verbe coup de fouet et la désinvolture enthousiaste. Ses chapitres sont courts comme des épîtres. Pour finir, on se dit que ce garçon en ville a tout du garçon des champs. Du La Fontaine en goutte à goutte. En somme, du lié qui a du délié. "


Certes on n'est pas dans l'humour potache, télé ou corps de garde.

Après réflexion, Jean-Pierre, je dois avouer que je suis d'accord pour une forme d'humour dans ton dernier livre : un regard ironique, parfois caustique, sur le monde qui nous entoure. En fait il y a tellement de sortes d'humour. Le gros rire de nos humoristes actuels ne m'intéresse guère... Je préfère la finesse ou l'ironie de ton dernier livre.

- Monsieur Kurdy, un des jurés vous demande des éclaircissements sur ce que les médias du monde entier appellent désormais "l'affaire Laurel & Hardy". Nous vous écoutons.

- Est-ce bien utile, Votre Honneur ? L'humour expliqué est-il encore de l'humour? Si ma feinte n'a fait rire personne, n'est-il pas vain de vouloir l'expliquer, tout comme il serait vain que Jean-Pierre Poccioni indique à ses lecteurs les passages de ses romans où ils sont censés trouver de l'humour. L'humour passe ou il ne passe pas. C'est très personnel, je pense.

- La cour insiste, monsieur Kurdy.

- Soit. Jipi a proposé une lecture commune. John a demandé qui était partant, et 2 personnes ont répondu qu'ils ne l'étaient pas : Gosayn et Poccioni. Quand j'ai à mon tour réagi, au lieu d'écrire "dommage que Gosayn et Poccioni ne participent pas", j'ai trouvé plus drôle de remplacer leurs noms par le premier duo célèbre qui m'est venu à l'esprit. Il n'y avait, je vous l'assure, aucune arrière-pensée consciente. Mais comme Freud nous l'a enseigné, l'humour véhicule très souvent des éléments provenant de notre inconscient…

- Pourriez-vous préciser ?

- Je ne peux que faire des hypothèses. Une première hypothèse serait que j'ai cité Laurel & Hardy parce qu'ils représentent pour moi les "amuseurs publics" par excellence, et que j'estime donc inconsciemment que Gosayn et Poccioni apportent une contribution comique à ce forum.

- Ceci n'est-il pas contradictoire avec le manque d'humour que vous semblez reprocher à Monsieur Poccioni?

- Le comique est parfois involontaire.

- Vous agravez de nouveau votre cas, je le crains !

- Notre insconscient est un nid de contradictions, Votre Honneur. Mais notez que je n'ai jamais dit que Jean-Pierre Poccioni manquait d'humour, j'ai dit que je n'en avais pas perçu beaucoup dans ses romans. Pour le reste, je me borne à constater que mes propres traits d'humour ne semblent pas l'enthousiasmer outre mesure.

- Poursuivez.

- Une autre hypothèse est que mon inconscient m'ait en fait amené à faire une comparaison par l'absurde : Poccioni-Hardy, la parfaite antithèse.

- Si c'est le cas, l'accusation d'ironie se vérifie.

- Diable ! Croyez-vous que je devrais plaider coupable ?

- …

Moi je crois surtout que Kurdy devrait arrêter de fumer des pétards !

:lol:

Qui fume de la moquette ici ? Jipi ? Jean-Pierre Poccioni ? Kurdy ? John ? Mireille ? :lol: :lol: :lol:
Ma lecture du roman avance. On ne lit que quelques pages et tout de suite l'on devine que l'on a affaire à quelque chose de grand, mais... chuuuuuuut ! Suspense !!! :lol:

Moi z'ai envie de mettre mon petit nez rouze ze matin !

Encore une chose que vous ne savez pas : ma formation suivie dans ce domaine il y a de longues années. J'avais un immense professeur spécialisé dans le domaine du clown et de l'expression corporelle. Souvent je lui rends hommage, car il m'a permis de mieux vivre... Guy Ramet.

Attention, Zipi-le-nez-rouze, pas bien d'essayer d'influencer les lecteurs !!

Lecture commune ne veut pas dire qu'on est tous obligé d'être d'accord, j'espère? Moi je n'ai pas encore comencé la lecture et je me réserve le droit de pourfendre joyeusement ce roman si je l'ai trouvé mauvais.

Evidemment je pars avec un a priori positif, mais pas trop quand même pour ne pas risquer la déception.

Aaaaargh ! Où est passé le deuxième aime de mon "commencé" ??

Il est encore temps, en ce dernier jour du mois de Janvier, de vous présenter, à Jipi, ainsi qu'à tous les membres de ce forum, une très bonne année de lecture, écriture bien-sûr, mais aussi de milliers d'autres découvertes et rencontres positives.

Amicalement, yoyo

Hé John vous n’êtes pas tout seule, moi je ne l’ai pas acheté, le livre....

Pour l’instant, je suis aux Indes en lecture, donc je suis très loin, au soleil imaginaire. Ça réchauffe un peu, quand je regarde par la fenêtre et que le paysage est blanc et froid d’hiver…
Et comme je m’occupe aussi de corriger déjà une bonne partie de la Biographie de Max, je suis en plein dans les dictionnaires virtuel de l’orthographe, conjugaison et grammaire. Je n’ai pas entièrement confiance dans le correcteur d’orthographe, il me raconte des boulettes. Et voilà, je m’instruis, et parfois cette conjugaison me chauffe la tête, alors il vaut mieux que j’arrête.
Sinon je mélange les tout, tous, toute, toutes , leur, leurs, on, l’on ext., ext. Quelle affaire !!! Alors si je dois encore vous suivre pour lire…. !!!

Désolé pour vous tous,tout, toute et toutes, mais je ne suis pas une < marathonne> en lecture, j’aime lire, mais a mon rythme…. Et un livre à la fois…et de préférence ce qu’il me fait un peu rêver…. Comme les voyages...
Je ne promets personnes que mes recherches en écriture française, m’améliora dans mes messages…
Wait and see