Quel est le dernier film que vous avez vu et apprécié ?

Munich,il faut voir le film il y a de trés bons sujets de discution........
Trauman Capote,j'aime cette biographie,beau film ,j'aime surtout cette écrivain assez décalé.........
J'ai aussi vu un film assez sympathique mais tt à fait différent :DECALAGE , l'histoire est assez effreyante ,mais juste.

Pour moi ,le meilleur film de l'année 2005 fut "COLLISION "aviez -vous vu ce film?

Oui je l'ai vu Parme ! Excellent en effet !

Vus

Tomboy - Céline Sciamma. Un pur bijou. Laure a 10 ans et Laure est un garçon manqué. Cheveux courts, baskets et jogging, posture nonchalante et un visage d'ange, Laure préférait s'appeler Mickaël, nom qu'elle va emprunter le temps d'un été. Un film sur l'identité sans la présence du moindre jugement. Mais plus qu'un film sur l'identité, c'est surtout l'ode à la fraternité qui m'a beaucoup touchée. Les deux sœurs se comprennent sans se parler. Les scènes entre elles deux, tout à fait banales au quotidien, sont d'une rare beauté ! Les enfants sont extraordinaires, très naturels. Bref, on se laisse emporter par la candeur de ce film qui est à la fois d'une gravité extrême.

Tree of life - Terrence Malick. Très partagée... La première heure est d'un ennui à toute épreuve. Certaines scènes étant improbables suscitent plutôt le rire ou l'exaspération... Certes, les images sont belles, époustouflantes mais le film part dans tous les sens. Seule la partie narrative est intéressante, choquante, émouvante mais bien trop mystique, religieuse, moraliste à mon goût. En revanche, j'ai très apprécié l'esthétisme très lisse (trop "pub" pour certains!) et la mise en scène (les plans toujours en contre plongée quand il s'agit des enfants) Un film donc qui se veut gracieux mais un peu trop !

Le gamin au vélo - Les Dardenne. Un joli film qui ne sombre pas dans le social parce-que celui ci ne nous fait tomber ni dans la pitié ni le sentimentalisme à deux balles. Ici, nous n'apprenons rien des raisons pour lesquelles le gamin est délaissé par le père, ni les raisons pour lesquelles Samantha s'intéresse à ce garçon. L'absence de stigmatisation et de jugement est très appréciable. Cependant Cécile de France (ou le personnage ?) m'a parue un peu niaise... certaines scènes sont quelque peu poussives et exagérées.

Le chat du Rabbin - Joann Sfar. Vu en avant-première il y a un mois. Je pense que j'irais le revoir tant il m'a plu. Un petit conte plein de poésie dont le narrateur est un chat (voir l'analyse du chat dans le figaro, longue mais complète... [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] En fait, je vais attendre de le revoir pour en dire plus car j'ai peur d'oublier plein de choses

Merci Marilou pour ces avis qui peuvent donner des idées.

Des films, j'en vois deux ou trois par semaine en moyenne, mais la plupart du temps c'est à la télé et dans l'immense majorité des cas, je suis déçu.

J'ai un faible pour les films dont le sens profond n'apparaît pas de façon évidente et qui demandent un effort d'interprétation. Mais aussi pour Woody Allen (c'est mon point commun avec Jean-Pierre Poccioni.)

Si je repense à ce que j'ai vu au cours du dernier mois, il y a un film qui sort du lot : TROIS ENTERREMENTS de et avec Tommy Lee Jones. C'est un film auquel je continue à penser trois semaines après l'avoir vu, il fait son chemin en moi comme les deux personnages principaux font le leur sous nos yeux à l'écran.

John a écrit:

J'ai un faible pour les films dont le sens profond n'apparaît pas de façon évidente et qui demandent un effort d'interprétation. Mais aussi pour Woody Allen (c'est mon point commun avec Jean-Pierre Poccioni.)

Alors il faut voir Tree of life ! ;-)

Sinon dernièrement j'ai vu aussi en DVD Amadeus, Virgin Suicides et Shining au cinéma avec à la rétrospective ! J'essaierais de me procurer Trois enterrements alors

Quelques films vu récemment :

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Le Gamin au Vélo, les frères Dardenne continuent leur oeuvre avec pour la première fois une actrice bankable. Un cinéma filmé à l'os comme toujours avec des moments de grâce et une tension sourde. Le gamin est une boule de nerf, une muleta qui s'agite et se cogne à la vie, le père n'est pas stigmatisé, on ne sait rien de la raison de la séparation et c'est ce qui donne toute la force au film comme est laissé au spectateur l'interprétation de l'attachement de cette coiffeuse pour ce gamin... Luc Dardenne insiste : "On tenait à ce que le spectateur ne sache jamais pourquoi Samantha s’intéresse à Cyril. On ne voulait pas d’explications psychologiques. On ne devait pas pouvoir expliquer le présent par le passé. On voulait que le spectateur se dise « Elle le fait ! ». Ce qui est déjà beaucoup. Cyril est toujours en mouvement. Il ne tient pas en place."
En fait si certaines scènes semblent peu crédibles, c'est parce que ce film est un conte, urbain, social, contemporain, avec sa forêt séduisante et pleine de dangers avec son "loup". "A un moment, on a même pensé fugitivement appeler le film Conte de notre temps" avoue Jean Pierre Dardenne... Les quelques notes du concerto pour piano n°5 de Beethoven scandent les actes de cette tragédie d'aujourd'hui, mais chez les Dupont et Dupond du cinéma belge, point de sensiblerie, de mièvrerie, ce petit homme est plus adulte que bcp d'adultes... Un beau film...

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Vu Unknown de Jaume Collet-Serra auteur d'un petit film d'horreur sympathique, Esther qui avait marché... La Warner lui offre alors un casting de choix pour un thriller tiré d'un bouquin de Didier van Cauwelaert, Hors de moi. Cela se laisse regarder, notamment la première demi heure mais on a vu cela mille fois, la mort aux trousses du grand Hitch, la saga Jason Bourne ou mieux le génial Frantic de Polanski. Ici, cela se passe à Berlin qui est filmée sans aucune originalité, tous les clichés sont là, et même la fin qui aurait pu bénéficier d'un twist est confondant de guimauve...

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Vu l'excellent [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] sur Stanley Kubrick de son beau frère, Jan Harlan, tous les films du grand sorcier sont passés en revue, cela donne évidemment envie de les voir tous...

marilou a écrit:

J'essaierais de me procurer Trois enterrements alors

Attention, je ne dis pas que c'est le chef-d'oeuvre du siècle. Juste un bon film. Intéressant à voir sûrement, mais de là à l'acheter...

TROIS ENTERREMENTS ?

Un grand film.

Mon commentaire d'alors...

« J'ai vu TROIS ENTERREMENTS de Tommy Lee Jones

Premier film de Tommy Lee Jones et l’on peut dire que c’est une oeuvre maîtresse ! Peut-être un chef-d’oeuvre dans le genre du western (texan). Mais un western qui appartient à notre époque. Ce film de Tommy Lee Jones a obtenu le Prix du meilleur scénario à Cannes et le prix de l’interprétation masculine pour l’acteur principal qui n’est autre que le réalisateur du film.
Les personnages sont présentés grâce à des flash-back. La narration originale du film n’alourdit en rien le film qui, à travers cette structure narrative originale, nous offre un message symbolique (notre vie est également composée d’éléments disparates où le passé, le présent et même le futur se rejoignent).
Un mexicain, Melquiades Estrada, a été assassiné par un membre de la police des frontières. Son corps a été enterré à la va-vite sans aucun respect. On se préoccupe d’ailleurs très peu de sa famille qu’il faudrait tout de même prévenir. Mais un homme veille... Le contremaître du ranch. C’est le meilleur ami de Melquiades : il découvre l’assassin à qui il fera sans doute passer les heures les plus sombres de la vie ! Il lui fera déterrer le corps de Melquiades et une folle escapade commencera pour trois personnes : l’assassin, le corps déterré du mexicain, qui semble d’ailleurs être une personne à part entière, et notre héros vengeur...
L’ambiance est lourde et le ciel parfois plombé est une chappe qui accentue le malaise. Les paysages désertiques qui sont traversés sont magnifiques et la tension est maintenue grâce à la thématique du film s’offrant comme une initiation à la rédemption à travers une folle traversée du désert afin d’atteindre un but ultime. Le film, assez macabre de par la présence du cadavre qui suit perpétuellement l’assassin et le héros, nous offre une très belle émotion (je pense notamment à la rencontre avec le vieil homme aveugle). Sous une apparente froideur de l’homme peuvent surgir à la fois la sensibilité et le pardon...
Ce film restera marqué dans mon esprit comme une pépite de lumière sauvage, douloureuse et poignante à travers mes nombreux souvenirs cinématographiques... Une superbe leçon sur le sens de la vie et la nécessité du respect des valeurs. »

J'ai vu Le gamin au vélo où j'ai retrouvé l'extraordinaire aptitude des frères Dardenne à créer une illusion réaliste, par une caméra et une direction d'acteurs formidable. J'ai aimé bien sûr ce regard humaniste, cette façon d'affirmer que "ces gens" ont une histoire et méritent qu'on les regardent.

Par contre et quoique déclarent les auteurs le scénario est vraiment minoré de quantité de zones d'ombre et pire de procédés. On peut accepter de ne pas savoir pourquoi cette jeune femme va à ce point vers cet enfant mais ne pas voir dans la scène de la "fausse mort" un procédé grossier est difficile.

Une dernière remarque qui fait le lien avec les discussions sur la qualité des oeuvres. Ce film des frères Dardenne malgré ses défauts est une oeuvre d'art. Roma sur Arte qui est mentionné ailleurs, malgré quelques qualités est un produit industriel.

Il existe une frontière que les amateurs reconnaissent même s'ils ne peuvent toujours l'analyser.

J'irai voir Jean-Pierre ce film des grands frères Dardenne.

Par contre, j'en ai parlé hier dans « JIPI FAIT SON CINÉMA »... du dernier film vu...

Jean-Pierre Poccioni a écrit:

Par contre et quoique déclarent les auteurs le scénario est vraiment minoré de quantité de zones d'ombre et pire de procédés. On peut accepter de ne pas savoir pourquoi cette jeune femme va à ce point vers cet enfant mais ne pas voir dans la scène de la "fausse mort" un procédé grossier est difficile.

Pouvez-vous préciser ?

Je ne préciserai pas Marilou, car ce serait donner une information sur l'intrigue susceptible de réduire l'intérêt de ceux qui n'ont pas vu le film. J'applique au cinéma une règle que je respecte dans mes chroniques sur des romans.

Jean-Pierre Poccioni a écrit:

Je ne préciserai pas Marilou, car ce serait donner une information sur l'intrigue susceptible de réduire l'intérêt de ceux qui n'ont pas vu le film. J'applique au cinéma une règle que je respecte dans mes chroniques sur des romans.

Précisez moi par message personnel alors...

Sinon il y a une fonction très utile qui s'appelle le "Spoiler" dans "Autres"

Spoiler:

Suffit de cliquer dessus pour voir le texte ou de préférer ne pas lire quand on a pas encore vu le film dont il est question ^^

J'ai revu Huit femmes d'Ozon sur Arte.

Petit chef d'oeuvre d'intelligence, de fantaisie et d'humour. Un jeu d'actrices scintillant et sans cesse surprenant. Une véritable réjouissance.

Et pourtant je ne suis pas souvent séduit par ce metteur en scène, ici en état de grâce.

Princesse Mononoke - Miyazaki - Un conte magnifique tant par sa qualité technique que par le message qu'il délivre.

London Boulevard - J'ai-oublié-le-nom-du-réa - Si le genre "navet" existait, cela nous faciliterait la tâche lol !

Revu Les liaisons dangereuses - Stephen Frears - Excellente adaptation ! La première fois que j'ai vu ce film, j'ai été surprise car la mise en scène de ce roman épistolaire est absolument bien réussie. C'était un dur défi et j'crois qu'on pouvait s'attendre à bien pire... comme ce qu'il s'est fait par la suite lol)=

Lolita - Kubrick - Comédiens magiques ! Une mise en scène très simple, un film ironique et cynique qui m'a beaucoup plu.

L'odyssée de l'espace - Kubrick - Je me suis ennuyée pour la simple raison que ce sont des choses que j'ai vues mille fois (de plus je n'aime guère la science fiction mais je reconnais que le film est extraordinaire dans la mesure où les images étaient alors simplement imaginées l'Homme n'ayant que peu d'informations sur la terre vue de l'espace. Je suis tout de même époustouflée par la grandeur de ce réalisateur et metteur en scène !

Balada triste de trompeta - Plus que déçue ! J'étais tellement enthousiaste en voyant la bande annonce et en cherchant des informations par ci par là ! C'est le contexte (la dictature espagnole et le régime sous Franco) qui m'a en premier lieu intéressée. L'image est sale, le film n'est qu'une vaine tentative de métaphore filée, les deux clowns symbolisant le déchirement de l'Espagne. Rien n'est crédible, il n'en sort strictement rien... Vraiment déçue !

Je prévois de regarder deux lynch et j'aimerais continuer mes découvertes concernant Kubrick. Et justement cette année est la bonne !! ;-)

Kubrick m'a souvent semblé très surévalué ce qui engendre, c'est bien connu, des déceptions. Il y a cependant chez lui du très bon, Lolita est un exemple, et du beaucoup moins bon Eyes Wide shut avec ses perversions à épater le bourgeois.

Pour ce qui est de Lolita il faut dire que Nabokov lui donne un sérieux coup de main même si de cet écrivain on peut préférer le génial roman : Ada ou l'ardeur.

Quasiment tous les films de Kubrick sont des adaptations, je dirais des réécritures.

Path of Glory d'Humphrey Cobb pour Path of Glory
Spartacus d'Howard Fast pour Sparactus même si Kubrick n'est pas à l'origine du projet...
Lolita de Nabokov qui co- écrit le scénario pour Lolita
Red Alert pour Dr Strangelove or : How I Learned to Stop Worrying and Love the Bomb
Deux nouvelles d'Arthur C. Clarke, The Sentinel, Encounter at Dawn pour 2001 : A Space Odyssey
A Clockwork Orange d'Anthony Burgess pour A Clockwork Orange
The Luck of Barry Lyndon de William Makepeace Thackeray pour Barry Lyndon
The Shining de Stephen King pour The Shining
The Short Timers de Gustav Hasford et les mémoires de guerre de Michael Herr, Dispatches pour Full Metal Jacket
Traumnovelle, nouvelle d'Arthur Schnitzler pour Eyes Wide Shut

marilou a écrit:

Balada triste de trompeta - Plus que déçue ! J'étais tellement enthousiaste en voyant la bande annonce et en cherchant des informations par ci par là ! C'est le contexte (la dictature espagnole et le régime sous Franco) qui m'a en premier lieu intéressée. L'image est sale, le film n'est qu'une vaine tentative de métaphore filée, les deux clowns symbolisant le déchirement de l'Espagne. Rien n'est crédible, il n'en sort strictement rien... Vraiment déçue !

Oui, j'avais apprécié jusqu'alors l'humour méchant de de la Iglesia, j'ai été effaré par ce film bordélique, avec des automutilations ridicules, et une histoire qui part dans tous les sens. Cela commençait pourtant bien mais cela s'avère vite décevant et surtout fatiguant.
Seul point positif: le cadre de la Valle de Los Caídos, monument que l'on n'a pas souvent l'occasion de voir.

Guimauve, je parlais de l'incidence fondamentale du texte d'origine et vous précisez vous même que Nabokov a de plus participé au scénario. Dans d'autres cas la distance est plus grande et surtout le film moins centré sur un concept. Nabokov n'a pas inventé les jeunes allumeuses mais il a donné à cette attitude un nom qui est devenu commun à l'instar de Don Juan !

Pour les autres films on est dans un cas de figure classique puisque peu de metteurs en scène inventent de toutes pièces leurs histoires.

Quant à mon admiration modérée pour Kubrick c'est un goût personnel, rien de plus.

Jean-Pierre Poccioni a écrit:

Guimauve, je parlais de l'incidence fondamentale du texte d'origine et vous précisez vous même que Nabokov a de plus participé au scénario. Dans d'autres cas la distance est plus grande et surtout le film moins centré sur un concept. Nabokov n'a pas inventé les jeunes allumeuses mais il a donné à cette attitude un nom qui est devenu commun à l'instar de Don Juan !

Pour les autres films on est dans un cas de figure classique puisque peu de metteurs en scène inventent de toutes pièces leurs histoires.

Quant à mon admiration modérée pour Kubrick c'est un goût personnel, rien de plus.

Je ne vous suis pas... Kubrick s'éloigne toujours du roman ou de la nouvelle original, même pour Lolita où le personnage de Quilty est largement développé dans le film et pas dans le roman.

Peu invente, il y en a pourtant un certain nombre...

Gosayn a écrit:

marilou a écrit:

Balada triste de trompeta - Plus que déçue ! J'étais tellement enthousiaste en voyant la bande annonce et en cherchant des informations par ci par là ! C'est le contexte (la dictature espagnole et le régime sous Franco) qui m'a en premier lieu intéressée. L'image est sale, le film n'est qu'une vaine tentative de métaphore filée, les deux clowns symbolisant le déchirement de l'Espagne. Rien n'est crédible, il n'en sort strictement rien... Vraiment déçue !

Oui, j'avais apprécié jusqu'alors l'humour méchant de de la Iglesia, j'ai été effaré par ce film bordélique, avec des automutilations ridicules, et une histoire qui part dans tous les sens. Cela commençait pourtant bien mais cela s'avère vite décevant et surtout fatiguant.
Seul point positif: le cadre de la Valle de Los Caídos, monument que l'on n'a pas souvent l'occasion de voir.

Bien d'accord, je sauve les décors et la folie de l'entreprise ;-)

Soyons clairs, toutes les adaptations de romans ou nouvelles s’en éloignent, ne serait-ce que pas les impératifs narratifs de chacun des genres et l’évaluation du degré plus ou moins grand d’éloignement est ici sans intérêt.
J’ai parlé dans le cas de Lolita de concept car c’est bien de cela qu’il est question même si les grandes lignes du récit sont conservées. C’est le concept qui fait image, que l’on retient et qui fonde la force du film car ce n’est pas tous les jours qu’on peut trouver une image mythique de cette nature.

C'est ce que je voulais dire en affirmant que Nabokov auteur du concept aide fortement Kubrick à faire un film marquant.

Comme n'importe quel grand auteur derrière chaque grand film...

Pourtant tous les grands livres ne font pas de grands films, Kubrick a donc son importance ici et cela n'enlève en rien à la qualité du roman...