Pour consoler les impoètes, comme moi ;)

Voici "mon" sonnet :lol:


Du jeune avantageux la nymphe s'était éprise
que convoitait c'est sûr une horde d'escrocs
il se penche et alors à sa grande surprise
il n'avait droit qu'à une et le jour des Rameaux

Je me souviens encor de cette heure exquise
on prépare la route aux pensers sépulcraux
d'une étrusque inscription la pierre était incise
les Grecs et les Romains en vain cherchent leurs mots

Le poète inspiré n'est point une polyglotte
aventures on eut qui s'y pique s'y frotte
l'autocar écrabouille un peu l'esprit latin

L'Amérique du Sud séduit les équivoques
exaltent l'espagnol les oreilles baroques
l'écu de vair ou d'or ne dure qu'un matin


Ecrivez "votre" sonnet :
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Trop drôle Laurencja !!!

Quel talent !!! :lol:

En tant qu'impoète reconnue, voici le mien :

Lorsque tout est fini, lorque l'on agonise
lorsque le marbrier astique nos tombeaux
des êtres indécis vous parlent sans franchise
et fermentent de même et les cuirs et les peaux

Souvenez-vous amis de ces îles de Frise
où venaient par milliers s'échouer les harenceaux
nous avions aussi froids que nus sur la banquise
lorsque pour nous distraire y plantions nos tréteaux

Le brave a beau crier ah crénon saperlotte
le lâche peut arguer de sa mine pâlotte
lorsque Socrate mort passait pour un lutin

Cela considérant ô lecteur tu suffoques
on transporte et le marbre et débris et défroques
toute chose pourtant doit avoir une fin

Trop drôle Laurencja !

Toi aussi tu as un grand talent Fée !!! :lol: