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| Jeu littéraire : le plus mauvais texte truffé de clichés ! | |
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+9shanti Emmanuel de Careil blackshad wagga2 paul H rem marie chevalier Fée Jipi 13 participants | |
Auteur | Message |
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tartuffe
Nombre de messages : 10 Localisation : paris Date d'inscription : 13/01/2006
| Sujet: Re: Jeu littéraire : le plus mauvais texte truffé de clichés ! 18/2/2006, 18:24 | |
| Pour le message précédent, je me suis quelque peu trompée de nom d'utilisateur! La prochaine fois je ferme la session de wagga 2 pour me connecter sous mon vrai nom.. ah mon cerveau a été endommagé par tous ces clichés.. le drame! | |
| | | Fée Membre
Nombre de messages : 710 Localisation : Région Parisienne Date d'inscription : 12/12/2005
| Sujet: Re: Jeu littéraire : le plus mauvais texte truffé de clichés ! 18/2/2006, 19:06 | |
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| | | marie chevalier Membre
Nombre de messages : 1135 Date d'inscription : 14/12/2005
| Sujet: Re: Jeu littéraire : le plus mauvais texte truffé de clichés ! 18/2/2006, 20:43 | |
| - Boris ? - Oui - Tu m'aimes? - Bien sûr ma sirène.. - Beaucoup ... - Plus même ... | |
| | | Jipi Administrateur
Nombre de messages : 5908 Localisation : Belgique Date d'inscription : 26/10/2005
| Sujet: Re: Jeu littéraire : le plus mauvais texte truffé de clichés ! 19/2/2006, 15:32 | |
| Merci Tartuffe ! Merci Marie qui entame un dialogue qui risque d'être croustillant... Voici le sixième récapitulatif du texte. Merci de ne poursuivre que ce texte. Ce texte est vraiment trop drôle ! Un modèle du genre !
Lolita, couchée sur le sable doré, avait ses yeux embués de larmes, car son amant venait de la quitter. Sa longue chevelure blonde brillait dans le soleil d'été. Elle s'endormait, bercée par le bruit des vagues qui lui rappelait qu'elle était enfin en vacances. Sans cette satanée rupture, elle aurait pu savourer la chaleur douce de ce soleil couchant. L'éclat lumineux de l'astre diurne ne parvenait pas à dissiper la brume qui s'emparait d'elle, corps et âme. « D'amour en amour, on imagine que l'on va réussir un jour par se retrouver, pour soi et pour les autres ; en fait, on n'en finit plus de se perdre », se disait-elle, dans un sursaut d'amertume étudiée... Le vague à l'âme l'enroulait telle la déferlante qui s'offrait à son regard. Elle ne put cependant s'empêcher de sourire à cette écume des jours que son dernier amant Boris semblait maintenant projeter dans les délices de ses souvenirs... Ainsi, dans la croissance zéro de son bonheur, elle s'évertuait à se fondre dans le bleu de l'océan limpide et sauvage, afin de retrouver un peu du bleu des yeux de son amour perdu, eros déchu par la vie qui passe. Soudain, elle se rappela leur première nuit d'amour. -« Alors, heureuse? » lui avait il dit, caressant sa longue chevelure blonde dont les reflets argentés frémissaient sous ce bonheur infini. Le souvenir de cette première étreinte réchauffa son corps mais elle ne fondit pas comme la glace au soleil car la chaleur éphémère fit place très vite au vide froid et désespéré du manque. Lolita s’accrochait au souvenir comme on s’accroche à la vie, mais en vain, car celui-ci disparaissait déjà... C’était écrit. Dans l'air obscurci, flottaient maintenant des parfums enivrants et la jeune femme se laissa bercer au chant du crépuscule ; la lueur de ses yeux s'éteignit et les vagues vinrent la couvrir pour l'emporter à tout jamais. Non, il ne fallait pas céder au désespoir ou s'enfermer dans de sombres délectations moroses. Lolita se leva, prit ses affaires et remonta la plage, non sans adresser un dernier regard dédaigneux à ces vagues imbéciles, qui n'en finissaient pas de s'échouer sur le sable, comme d'impossibles désirs d'amour sur le mur de la réalité et de la désillusion... Mais soudain elle perçoit une sensation étrange, car tout au loin, là-bas, elle semble deviner la silouette d'un homme qu'elle pense être Manu ! Cet homme qu'elle avait rencontré un soir par hasard, lui avait fait comprendre que la vie peut être simple et que cette simplicité est belle! Et plus elle avançait, plus cela se confirmait. C'était bien Manu avec sa démarche si particulière et son port de tête très spécifique ! Combien de minutes encore la séparaient de lui ?... Elle est longue cette plage, elle n'en finit plus, pensait-elle. Déjà, à cette distance, elle commençait à sentir cette énergie invisible qui émane de son corps, cette sensation bizarre qui la pénètre de part en part. Le monde n'existait plus, il n'y avait plus qu'elle, et là-bas, lui ! On se serait cru dans un des ces films sentimentaux où les amoureux, au soleil couchant, au bord d'un plage couraient tous les deux l'un vers l'autre pour se rejoindre en hurlant « Boris ! Lolita ! » et l’on entend alors comme dans les films d’ Hollywood, la musique retentir et des danseurs et des chanteurs bigarrés... Ah l'amour !!! Amour passion, Amour toujours ! Cet amour lui donnait des ailes, la rapprochant peu à peu de son Apollon au sourire de miel. « Boris ! » Que de promesses offertes dans ce corps aux muscles d'acier ! « Lolita! » Il lui ouvre ses bras, elle l'enlace, conquise, et plonge son regard mouillant dans le feu de ses yeux. - Boris ? - Oui - Tu m'aimes ? - Bien sûr ma sirène.. - Beaucoup ? - Plus même ...
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| | | wagga2 Membre
Nombre de messages : 173 Localisation : A droite à gauche Date d'inscription : 02/12/2005
| Sujet: Re: Jeu littéraire : le plus mauvais texte truffé de clichés ! 19/2/2006, 16:39 | |
| - Fée a écrit:
- Pige pas... tu as deux pseudos ??
Non, rassure toi. Il y a simplement deux forumiens de passion des mots sur le même pc, wagga2 et Tartuffe. Et Tartuffe à visiblement du mal à allumer son pc, le connecter... Un peu blonde dirons-nous , Lolita bis :oops: | |
| | | Jipi Administrateur
Nombre de messages : 5908 Localisation : Belgique Date d'inscription : 26/10/2005
| Sujet: Re: Jeu littéraire : le plus mauvais texte truffé de clichés ! 19/2/2006, 17:33 | |
| Heureusement que Tartuffe ne passe par là !!! :lol: | |
| | | Redwall Membre
Nombre de messages : 187 Localisation : Bien au chaud dans mes pantoufles et mon Thermolactil de D. Date d'inscription : 01/12/2005
| Sujet: Re: Jeu littéraire : le plus mauvais texte truffé de clichés ! 19/2/2006, 23:45 | |
| Désolé d'être trop tard. Pauvre de moi. "Dans quelle étagère" Ce ne sera que partie remise, pour une prochaine fois. Des larmes, telle une rivière aux eaux limpides et chaudes, coulent de mes yeux pour marquer mon désarroi. :oops: | |
| | | yugcib Membre
Nombre de messages : 2010 Age : 76 Localisation : 186 route d'Audon 40400 Tartas Date d'inscription : 22/12/2005
| Sujet: La ferme des célébrités 20/2/2006, 18:56 | |
| A la ferme du bonheur des célébrités, j'ai puisé mon inspiration et j'ai respiré très fort le fumet des filles qui n'avaient pas mis de slip.
Note subsidiaire :"ça me pèle d'écrire ça"! | |
| | | Jipi Administrateur
Nombre de messages : 5908 Localisation : Belgique Date d'inscription : 26/10/2005
| Sujet: Re: Jeu littéraire : le plus mauvais texte truffé de clichés ! 20/2/2006, 19:07 | |
| Merci Tartuffe ! Merci Marie qui entame un dialogue qui risque d'être croustillant... Voici le sixième récapitulatif du texte. Merci de ne poursuivre que ce texte. Ce texte est vraiment trop drôle ! Un modèle du genre !
Lolita, couchée sur le sable doré, avait ses yeux embués de larmes, car son amant venait de la quitter. Sa longue chevelure blonde brillait dans le soleil d'été. Elle s'endormait, bercée par le bruit des vagues qui lui rappelait qu'elle était enfin en vacances. Sans cette satanée rupture, elle aurait pu savourer la chaleur douce de ce soleil couchant. L'éclat lumineux de l'astre diurne ne parvenait pas à dissiper la brume qui s'emparait d'elle, corps et âme. « D'amour en amour, on imagine que l'on va réussir un jour par se retrouver, pour soi et pour les autres ; en fait, on n'en finit plus de se perdre », se disait-elle, dans un sursaut d'amertume étudiée... Le vague à l'âme l'enroulait telle la déferlante qui s'offrait à son regard. Elle ne put cependant s'empêcher de sourire à cette écume des jours que son dernier amant Boris semblait maintenant projeter dans les délices de ses souvenirs... Ainsi, dans la croissance zéro de son bonheur, elle s'évertuait à se fondre dans le bleu de l'océan limpide et sauvage, afin de retrouver un peu du bleu des yeux de son amour perdu, eros déchu par la vie qui passe. Soudain, elle se rappela leur première nuit d'amour. -« Alors, heureuse? » lui avait il dit, caressant sa longue chevelure blonde dont les reflets argentés frémissaient sous ce bonheur infini. Le souvenir de cette première étreinte réchauffa son corps mais elle ne fondit pas comme la glace au soleil car la chaleur éphémère fit place très vite au vide froid et désespéré du manque. Lolita s’accrochait au souvenir comme on s’accroche à la vie, mais en vain, car celui-ci disparaissait déjà... C’était écrit. Dans l'air obscurci, flottaient maintenant des parfums enivrants et la jeune femme se laissa bercer au chant du crépuscule ; la lueur de ses yeux s'éteignit et les vagues vinrent la couvrir pour l'emporter à tout jamais. Non, il ne fallait pas céder au désespoir ou s'enfermer dans de sombres délectations moroses. Lolita se leva, prit ses affaires et remonta la plage, non sans adresser un dernier regard dédaigneux à ces vagues imbéciles, qui n'en finissaient pas de s'échouer sur le sable, comme d'impossibles désirs d'amour sur le mur de la réalité et de la désillusion... Mais soudain elle perçoit une sensation étrange, car tout au loin, là-bas, elle semble deviner la silouette d'un homme qu'elle pense être Manu ! Cet homme qu'elle avait rencontré un soir par hasard, lui avait fait comprendre que la vie peut être simple et que cette simplicité est belle! Et plus elle avançait, plus cela se confirmait. C'était bien Manu avec sa démarche si particulière et son port de tête très spécifique ! Combien de minutes encore la séparaient de lui ?... Elle est longue cette plage, elle n'en finit plus, pensait-elle. Déjà, à cette distance, elle commençait à sentir cette énergie invisible qui émane de son corps, cette sensation bizarre qui la pénètre de part en part. Le monde n'existait plus, il n'y avait plus qu'elle, et là-bas, lui ! On se serait cru dans un des ces films sentimentaux où les amoureux, au soleil couchant, au bord d'un plage couraient tous les deux l'un vers l'autre pour se rejoindre en hurlant « Boris ! Lolita ! » et l’on entend alors comme dans les films d’ Hollywood, la musique retentir et des danseurs et des chanteurs bigarrés... Ah l'amour !!! Amour passion, Amour toujours ! Cet amour lui donnait des ailes, la rapprochant peu à peu de son Apollon au sourire de miel. « Boris ! » Que de promesses offertes dans ce corps aux muscles d'acier ! « Lolita! » Il lui ouvre ses bras, elle l'enlace, conquise, et plonge son regard mouillant dans le feu de ses yeux. - Boris ? - Oui - Tu m'aimes ? - Bien sûr ma sirène.. - Beaucoup ? - Plus même ...
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| | | marie chevalier Membre
Nombre de messages : 1135 Date d'inscription : 14/12/2005
| Sujet: Re: Jeu littéraire : le plus mauvais texte truffé de clichés ! 20/2/2006, 21:36 | |
| Dans un long baiser, les deux jeunes gens se serrèrent l'un contre l'autre.. - Au fait demanda Lolita, tu as pensé à m'acheter le dernier disque de Garou? - Tu me l'avais demandé mon âme? - Ben oui! tu ne penses vraiment à rien - Si ma douce à toi! -Oh comme tu es gentil ! De nouveau leurs lèvres se rejoignirent, et Lolita sentant quelque chose de dur derrière elle, murmura : Boris! je crois que je suis adossée à un parasol et ça me fait mal au dos !! | |
| | | Jipi Administrateur
Nombre de messages : 5908 Localisation : Belgique Date d'inscription : 26/10/2005
| Sujet: Re: Jeu littéraire : le plus mauvais texte truffé de clichés ! 21/2/2006, 09:14 | |
| Marie... ton dernier dialogue est d'une médiocrité absolue !!! Bravo !!! :lol: Voici le septième récapitulatif du texte. Merci de ne poursuivre que ce texte. Ce texte est vraiment trop drôle ! Un modèle du genre !
Lolita, couchée sur le sable doré, avait ses yeux embués de larmes, car son amant venait de la quitter. Sa longue chevelure blonde brillait dans le soleil d'été. Elle s'endormait, bercée par le bruit des vagues qui lui rappelait qu'elle était enfin en vacances. Sans cette satanée rupture, elle aurait pu savourer la chaleur douce de ce soleil couchant. L'éclat lumineux de l'astre diurne ne parvenait pas à dissiper la brume qui s'emparait d'elle, corps et âme. « D'amour en amour, on imagine que l'on va réussir un jour par se retrouver, pour soi et pour les autres ; en fait, on n'en finit plus de se perdre », se disait-elle, dans un sursaut d'amertume étudiée... Le vague à l'âme l'enroulait telle la déferlante qui s'offrait à son regard. Elle ne put cependant s'empêcher de sourire à cette écume des jours que son dernier amant Boris semblait maintenant projeter dans les délices de ses souvenirs... Ainsi, dans la croissance zéro de son bonheur, elle s'évertuait à se fondre dans le bleu de l'océan limpide et sauvage, afin de retrouver un peu du bleu des yeux de son amour perdu, eros déchu par la vie qui passe. Soudain, elle se rappela leur première nuit d'amour. -« Alors, heureuse? » lui avait il dit, caressant sa longue chevelure blonde dont les reflets argentés frémissaient sous ce bonheur infini. Le souvenir de cette première étreinte réchauffa son corps mais elle ne fondit pas comme la glace au soleil car la chaleur éphémère fit place très vite au vide froid et désespéré du manque. Lolita s’accrochait au souvenir comme on s’accroche à la vie, mais en vain, car celui-ci disparaissait déjà... C’était écrit. Dans l'air obscurci, flottaient maintenant des parfums enivrants et la jeune femme se laissa bercer au chant du crépuscule ; la lueur de ses yeux s'éteignit et les vagues vinrent la couvrir pour l'emporter à tout jamais. Non, il ne fallait pas céder au désespoir ou s'enfermer dans de sombres délectations moroses. Lolita se leva, prit ses affaires et remonta la plage, non sans adresser un dernier regard dédaigneux à ces vagues imbéciles, qui n'en finissaient pas de s'échouer sur le sable, comme d'impossibles désirs d'amour sur le mur de la réalité et de la désillusion... Mais soudain elle perçoit une sensation étrange, car tout au loin, là-bas, elle semble deviner la silouette d'un homme qu'elle pense être Manu ! Cet homme qu'elle avait rencontré un soir par hasard, lui avait fait comprendre que la vie peut être simple et que cette simplicité est belle! Et plus elle avançait, plus cela se confirmait. C'était bien Manu avec sa démarche si particulière et son port de tête très spécifique ! Combien de minutes encore la séparaient de lui ?... Elle est longue cette plage, elle n'en finit plus, pensait-elle. Déjà, à cette distance, elle commençait à sentir cette énergie invisible qui émane de son corps, cette sensation bizarre qui la pénètre de part en part. Le monde n'existait plus, il n'y avait plus qu'elle, et là-bas, lui ! On se serait cru dans un des ces films sentimentaux où les amoureux, au soleil couchant, au bord d'un plage couraient tous les deux l'un vers l'autre pour se rejoindre en hurlant « Boris ! Lolita ! » et l’on entend alors comme dans les films d’ Hollywood, la musique retentir et des danseurs et des chanteurs bigarrés... Ah l'amour !!! Amour passion, Amour toujours ! Cet amour lui donnait des ailes, la rapprochant peu à peu de son Apollon au sourire de miel. « Boris ! » Que de promesses offertes dans ce corps aux muscles d'acier ! « Lolita! » Il lui ouvre ses bras, elle l'enlace, conquise, et plonge son regard mouillant dans le feu de ses yeux. - Boris ? - Oui - Tu m'aimes ? - Bien sûr ma sirène.. - Beaucoup ? - Plus même ... Dans un long baiser, les deux jeunes gens se serrèrent l'un contre l'autre.. - Au fait demanda Lolita, tu as pensé à m'acheter le dernier disque de Garou ? - Tu me l'avais demandé mon âme ? - Ben oui ! tu ne penses vraiment à rien ! - Si ma douce ! À toi ! - Oh comme tu es gentil ! De nouveau leurs lèvres se rejoignirent, et Lolita sentant quelque chose de dur derrière elle, murmura : Boris ! je crois que je suis adossée à un parasol et cela me fait mal au dos !!
Dernière édition par le 22/2/2006, 23:30, édité 1 fois | |
| | | Jipi Administrateur
Nombre de messages : 5908 Localisation : Belgique Date d'inscription : 26/10/2005
| | | | Papillon Membre
Nombre de messages : 166 Localisation : Estrie Date d'inscription : 11/12/2005
| Sujet: Re: Jeu littéraire : le plus mauvais texte truffé de clichés ! 22/2/2006, 21:26 | |
| « mal au dos !! » Est-ce que je devrais le sortir dehors ?
- Sortir quoi ? fit Boris excédé du peu de concentration de sa conquête...« Il ne manquerait plus qu'elle ne se mette a compter les carreaux du plafond maintenant »!
- Le chat, il vient de faire sur le tapis. - Arf ! J'avais dit à Gorgio que je ne voulais pas le garder ce ronronneux plein de poils, je suis allergique à...
Lolita se redressa d'un bond.
- Oh! et moi qui caressais le rêve d'avoir une petite animalerie dans 3-4 ans...
Regretant aussitôt ses paroles , Lolita regardait avec surprise la bouche de son ami qui faisait la lippe. « Gros bébé jouflu... »
Excédé, il reprit son amie par les épaules et...
- Ouch ! - Quoi ? - Encore cet objet qui me vrille le dos, je...
Dernière édition par le 22/2/2006, 21:56, édité 1 fois | |
| | | Jipi Administrateur
Nombre de messages : 5908 Localisation : Belgique Date d'inscription : 26/10/2005
| Sujet: Re: Jeu littéraire : le plus mauvais texte truffé de clichés ! 22/2/2006, 21:47 | |
| - Papillon a écrit:
Regretant aussitôt ses paroles , Lolita regardait avec surprise la bouche de son ami qui la lippe. « Gros bébé jouflu... »
qui la lippe ? Une expression de ton pays Papillon ? | |
| | | Papillon Membre
Nombre de messages : 166 Localisation : Estrie Date d'inscription : 11/12/2005
| Sujet: Re: Jeu littéraire : le plus mauvais texte truffé de clichés ! 22/2/2006, 21:48 | |
| - Jipi a écrit:
- Papillon a écrit:
Regretant aussitôt ses paroles , Lolita regardait avec surprise la bouche de son ami qui la lippe. « Gros bébé jouflu... »
qui la lippe ?
Une expression de ton pays Papillon ? Oui, une expression souvent employée par ici! Tu la connais? | |
| | | Jipi Administrateur
Nombre de messages : 5908 Localisation : Belgique Date d'inscription : 26/10/2005
| Sujet: Re: Jeu littéraire : le plus mauvais texte truffé de clichés ! 22/2/2006, 21:49 | |
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| | | Papillon Membre
Nombre de messages : 166 Localisation : Estrie Date d'inscription : 11/12/2005
| Sujet: Re: Jeu littéraire : le plus mauvais texte truffé de clichés ! 22/2/2006, 21:50 | |
| La lippe= les bébés le font souvent, ou le jeune enfant qui n'a pas sa sucette, il fait la lippe... | |
| | | Jipi Administrateur
Nombre de messages : 5908 Localisation : Belgique Date d'inscription : 26/10/2005
| Sujet: Re: Jeu littéraire : le plus mauvais texte truffé de clichés ! 22/2/2006, 21:56 | |
| Très drôles ces expressions de ton pays papillon... mais ça ne me donne toujours pas la traduction de ta phrase dans sa totalité... :lol:
qui la lippe ?
Lipper = un verbe ? | |
| | | Papillon Membre
Nombre de messages : 166 Localisation : Estrie Date d'inscription : 11/12/2005
| Sujet: Re: Jeu littéraire : le plus mauvais texte truffé de clichés ! 22/2/2006, 21:59 | |
| Regrettant aussitôt ses paroles , Lolita regardait avec surprise la bouche de son ami qui faisait la lippe. J'avais oublié un verbe, il était tombé je ne sais pas où. Je me coltaille avec un clavier neuf que mon kid m'a fait acheter hier soir. | |
| | | Jipi Administrateur
Nombre de messages : 5908 Localisation : Belgique Date d'inscription : 26/10/2005
| Sujet: Re: Jeu littéraire : le plus mauvais texte truffé de clichés ! 22/2/2006, 23:38 | |
| Jeu littéraire clôturé le 23 février à 19 heures afin de préserver la qualité (enfin... on devrait dire la médiocrité plutôt que la quantité ! ) N' hésitez pas à participer... les derniers amateurs et amatrices !!!
Lolita, couchée sur le sable doré, avait ses yeux embués de larmes, car son amant venait de la quitter. Sa longue chevelure blonde brillait dans le soleil d'été. Elle s'endormait, bercée par le bruit des vagues qui lui rappelait qu'elle était enfin en vacances. Sans cette satanée rupture, elle aurait pu savourer la chaleur douce de ce soleil couchant. L'éclat lumineux de l'astre diurne ne parvenait pas à dissiper la brume qui s'emparait d'elle, corps et âme. « D'amour en amour, on imagine que l'on va réussir un jour par se retrouver, pour soi et pour les autres ; en fait, on n'en finit plus de se perdre », se disait-elle, dans un sursaut d'amertume étudiée... Le vague à l'âme l'enroulait telle la déferlante qui s'offrait à son regard. Elle ne put cependant s'empêcher de sourire à cette écume des jours que son dernier amant Boris semblait maintenant projeter dans les délices de ses souvenirs... Ainsi, dans la croissance zéro de son bonheur, elle s'évertuait à se fondre dans le bleu de l'océan limpide et sauvage, afin de retrouver un peu du bleu des yeux de son amour perdu, eros déchu par la vie qui passe. Soudain, elle se rappela leur première nuit d'amour. -« Alors, heureuse? » lui avait il dit, caressant sa longue chevelure blonde dont les reflets argentés frémissaient sous ce bonheur infini. Le souvenir de cette première étreinte réchauffa son corps mais elle ne fondit pas comme la glace au soleil car la chaleur éphémère fit place très vite au vide froid et désespéré du manque. Lolita s’accrochait au souvenir comme on s’accroche à la vie, mais en vain, car celui-ci disparaissait déjà... C’était écrit. Dans l'air obscurci, flottaient maintenant des parfums enivrants et la jeune femme se laissa bercer au chant du crépuscule ; la lueur de ses yeux s'éteignit et les vagues vinrent la couvrir pour l'emporter à tout jamais. Non, il ne fallait pas céder au désespoir ou s'enfermer dans de sombres délectations moroses. Lolita se leva, prit ses affaires et remonta la plage, non sans adresser un dernier regard dédaigneux à ces vagues imbéciles, qui n'en finissaient pas de s'échouer sur le sable, comme d'impossibles désirs d'amour sur le mur de la réalité et de la désillusion... Mais soudain elle perçoit une sensation étrange, car tout au loin, là-bas, elle semble deviner la silouette d'un homme qu'elle pense être Manu ! Cet homme qu'elle avait rencontré un soir par hasard, lui avait fait comprendre que la vie peut être simple et que cette simplicité est belle! Et plus elle avançait, plus cela se confirmait. C'était bien Manu avec sa démarche si particulière et son port de tête très spécifique ! Combien de minutes encore la séparaient de lui ?... Elle est longue cette plage, elle n'en finit plus, pensait-elle. Déjà, à cette distance, elle commençait à sentir cette énergie invisible qui émane de son corps, cette sensation bizarre qui la pénètre de part en part. Le monde n'existait plus, il n'y avait plus qu'elle, et là-bas, lui ! On se serait cru dans un des ces films sentimentaux où les amoureux, au soleil couchant, au bord d'un plage couraient tous les deux l'un vers l'autre pour se rejoindre en hurlant « Boris ! Lolita ! » et l’on entend alors comme dans les films d’ Hollywood, la musique retentir et des danseurs et des chanteurs bigarrés... Ah l'amour !!! Amour passion, Amour toujours ! Cet amour lui donnait des ailes, la rapprochant peu à peu de son Apollon au sourire de miel. « Boris ! » Que de promesses offertes dans ce corps aux muscles d'acier ! « Lolita! » Il lui ouvre ses bras, elle l'enlace, conquise, et plonge son regard mouillant dans le feu de ses yeux. - Boris ? - Oui - Tu m'aimes ? - Bien sûr ma sirène.. - Beaucoup ? - Plus même ... Dans un long baiser, les deux jeunes gens se serrèrent l'un contre l'autre.. - Au fait demanda Lolita, tu as pensé à m'acheter le dernier disque de Garou ? - Tu me l'avais demandé mon âme ? - Ben oui ! tu ne penses vraiment à rien ! - Si ma douce ! À toi ! - Oh comme tu es gentil ! De nouveau leurs lèvres se rejoignirent, et Lolita sentant quelque chose de dur derrière elle, murmura : - Boris ! Je crois que je suis adossée à un parasol et cela me fait mal au dos ! Est-ce que je devrais le sortir dehors ? - Sortir quoi ? fit Boris excédé du peu de concentration de sa conquête... Il ne manquerait plus qu'elle ne se mette à compter les carreaux du plafond maintenant, se disait-il en lui même ! - Le chat, il vient de faire sur le tapis. - Arf ! J'avais dit à Gorgio que je ne voulais pas le garder ce ronronneux plein de poils, je suis allergique à... Lolita se redressa d'un bond. - Oh ! et moi qui caressais le rêve d'avoir une petite animalerie dans trois ou quatre ans... Regrettant aussitôt ses paroles, Lolita regardait avec surprise la bouche de son ami qui faisait la lippe tel un gros bébé jouflu... Excédé, il reprit son amie par les épaules et... - Ouch ! - Quoi ? - Encore cet objet qui me vrille le dos, je...
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| | | Redwall Membre
Nombre de messages : 187 Localisation : Bien au chaud dans mes pantoufles et mon Thermolactil de D. Date d'inscription : 01/12/2005
| Sujet: Re: Jeu littéraire : le plus mauvais texte truffé de clichés ! 23/2/2006, 08:06 | |
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| | | Jipi Administrateur
Nombre de messages : 5908 Localisation : Belgique Date d'inscription : 26/10/2005
| Sujet: Re: Jeu littéraire : le plus mauvais texte truffé de clichés ! 23/2/2006, 18:27 | |
| Non Redwall ! Papillon écrit du Québec ! | |
| | | Redwall Membre
Nombre de messages : 187 Localisation : Bien au chaud dans mes pantoufles et mon Thermolactil de D. Date d'inscription : 01/12/2005
| Sujet: Re: Jeu littéraire : le plus mauvais texte truffé de clichés ! 23/2/2006, 20:32 | |
| Qui ou quoi lippe ? La bouche ou l'ami ? Très ambigu tout cela. J'attends pour voir....... | |
| | | marie chevalier Membre
Nombre de messages : 1135 Date d'inscription : 14/12/2005
| | | | Jipi Administrateur
Nombre de messages : 5908 Localisation : Belgique Date d'inscription : 26/10/2005
| Sujet: Re: Jeu littéraire : le plus mauvais texte truffé de clichés ! 23/2/2006, 21:18 | |
| En québécois : faire la lippe = avoir un air triste, comme un bébé boudeur ! | |
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