De la parka disparue aux silences qui hurlent et au lézard lumineux
De Jules Mopète qui se moque de tout ce qui loufe par le nombril à Rodolphe le SDF qui ne laisse à son notaire que la peau de son trou de bale et à mon copain le coléoptère que je retourne sur ses pattes au bord d'un chemin
De la révolte des Plouques à l'innocence blessée et aux bagages abandonnés sur un quai de gare
Loin au delà de tous ces doigts qui remuent la terre pour mettre à la lumière de leurs yeux des graines à la volée semées dans les champs immenses
Un jour je m'envolerai
Et dans le ciel où je déchirerai les nuages
J'écrirai encore à quelque chose qui ressemble à Dieu