Reprise d'une première impression personnelle :
« Hollande semble proche des gens et c'est bien. Je le voyais courir de l'un à l'autre... une image qui me plaît. Parfois même amusante.
On a là une image très éloignée de l'hystérique Sarkozy qui avait peur de la proximité.
Cela se voyait... étant un peu connaisseur du corps/mouvement, je perçois aisément les différences entre le mouvement naturel qui cherche la proximité, car il correspond à une tension intérieure qui te pousse vers l'autre et le mouvement artificiel qui ne correspond pas à une nécessité intérieure.
Hollande est naturellement proche parce que son corps suit le prolongement de son désir intérieur.
Sarkozy était parfois dans la foule parce qu'il le fallait bien en étant en plus et quasi perpétuellement sur la défensive. »