Un petit texte...

Jean-Pierre Poccioni a écrit:

Après recherche, le vocable ne faisant pas partie de mon vocabulaire, j'ai trouvé que " pffft" est une expression onomatopéique destinée à qualifier un discours particulièrement stupide.

Après relecture de ce qu'à écrit Jipi je pense que si l'on peut marquer un désaccord ou une désapprobation partielle, le qualifier de stupide est plus la marque d'une mauvaise humeur qu'un jugement.

A moins que Majalis ignore l'usage exact du vocable " pffft " ce qui reviendrait une fois de plus à une question de vocabulaire.

Cela dit pour répondre à Jipi, je crois que Majalis (à qui il appartiendrait de préciser sa pensée) voulait dire que l'écriture de Un garçon en ville lui était apparue commune, peu travaillée et par suite peu séduisante. C'est la raison pour laquelle j'ai posté ce jugement de Pol Vandromme qui au contraire pense à une écriture d'une précision clinique c'est-à-dire le contraire d'une écriture relâchée et peu élaborée.

Et je persiste à regretter qu'elle ne veuille pas justifier ou éclairer son jugement qui reste ainsi une simple dénégation de qualité.    

PS: Sans oser me mesurer ni à Proust ni à Camus, il reste évident que je suis plus "proche" du second que du premier!

Tout a été dit, vous avez meilleur jugement que quiconque.
J'avais lu votre roman, je ne l'ai pas apprécié comme vous le souhaitiez, maintenant vous vous acharner, ce n'est pas digne de vous, Jean-Pierre.
Je vous laisse à vos écrits.
vous perdrez un membre sur" Passion des mots".

Voyons Majalis ! Pouvez-vous prendre un peu de recul ?

Je m'acharne, dites-vous ?

Est-ce s'acharner que de vous répondre et argumenter ?  

Mais plus sérieusement, pourquoi  imaginer que votre jugement  sur un roman paru il y a quatre ans m'importe au  point d'en perdre mon sang froid ?

N'est-ce pas justement vous qui vous vengez de mes critiques de vos poèmes, par hasard ?

J'ai pris du recul,jipi me l'avais demandé, quitte à verrouiller le site sur lequel je postais mes poèmes suite soi-disant à mes susceptibilités et "enfantillages". J'ai posté ailleurs essayé de participer à un débat, sans succès, je me suis fait retourner comme un crêpe.
La critique de Pol Vandrome est sans doute élogieuse, tant mieux pour vous! je ne suis pas du meme avis et c'est mon droit, je pense que le contenu de ce roman mérité plus d'explications, il m'a mis m'al à l'aise quant au langage et images évoquées.

Si systématiquement je  rencontre un avis contraire et agressif , que ce soit en musique, poésie, ici, maintenant je préfère m'en aller.
Et pourquoi me vengerais-je, ce n'est pas dans mes habitudes, vous me pretez des intentions que je n'ai pas.

Je n'ai à aucun moment contesté votre droit de penser ce que vous voulez de mon roman. Je vous ai simplement incité à commenter vos critiques ce qui me semble bien naturel et légitime et pouvait même être intéressant.

J'ai commenté et argumenté, quant à moi mes jugements sur vos poèmes et je constate que vous refusez de faire de même.

Si je commente votre roman comme je l'ai fait plus haut, j'aurai immanquablement la controverse.
Le bar des arcades par exemple, c'est d'un cru, des histoires comme ça je m'en passerais, je préfère lire un roman plus délicat et mystérieux, c'est tout au long du roman, le meme discours.
donc je m'abstiens à l'avenir.

Vous avez raison de vous taire, vous devenez purement et simplement méchante.

ah ben nous y voilà donc, parce que j'ai donné un ressenti sur votre roman, je suis mechante, expliquez moi.

Encore une fois ce n'est pas votre critique ( qui n'est tout de même pas d'une force extraordinaire ! ) qui pose problème mais votre refus de vous en expliquer un minimum.

Quant à votre méchanceté elle consiste à dire sans dire, à laisser entendre que si vous disiez ce que vous pensez de mon texte ce serait tellement désagréable pour moi que je ne pourrais que réagir vivement.

Ainsi vous ne dites rien mais espérez tout de même blesser.

Jean-Pierre Poccioni a écrit:

Encore une fois ce n'est pas votre critique ( qui n'est tout de même pas d'une force extraordinaire ! ) qui pose problème mais votre refus de vous en expliquer un minimum.

Quant à votre méchanceté elle consiste à dire sans dire, à laisser entendre que si vous disiez ce que vous pensez de mon texte ce serait tellement désagréable pour moi que je ne pourrais que réagir vivement.

Ainsi vous ne dites rien mais espérez tout de même blesser.

De quelle force parlez vous, je ne suis pas experte en critique littéraire,j'ai donné mon avis, il ne vous suffit pas, que désirez vous de plus?
Je ne laisse rien entendre ni l'intention de vous nuire, c'est votre réaction qui est désagréable, pas la mienne, acceptez la critique comme j'ai aussi accepté la votre.
Je clos ce dialogue inutile et stérile.

Mais de quelle réaction parlez-vous?

Vous avez écrit votre critique. J'en ai accusé réception sans commentaire subjectif, puis et attendu ou espéré une discussion. J'ai pensé lancer cette discussion en citant Vandromme.

Qu'est-ce qui vous a semblé désagréable, précisément ?

"obsession de nostalgie rageuse", c'est bien ce qui vous qualifie.

M'accusez à tort de méchanceté, alors que j'avais un avis différent.
Vous me dites:"Vous avez raison de vous taire," et maintenant vous me demander de poursuivre, mais c'est purement contradictoire!
Vous savez j'entends parfois beaucoup de bonnes critiques autour de ma peinture, et des fois j'entends dire "et les gens tu crois qu'il vont comprendre?
L'ambiguité vois-tu Jean-Pierre, en peinture comme en écriture l'artiste ou l'auteur prennent des risques, celui de ne pas plaire ou plaire au public, peu importe, je considère que si nous sommes cohérents avec nous mêmes, rien n'est perdu.

Bonne continuation!

Désolé Majalis mais "obsession de nostalgie rageuse" est une expression qui n'a strictement aucun sens !

Pour le reste je vous laisse à votre conviction que je n'ai pas accepté un avis différent ( avis qui d'ailleurs change et se déplace du style peu élaboré au fond trop cru selon votre humeur du moment.

je me demande finalement qui est susceptible?

Je ne vois aucune susceptibilité dans le fait de vous signaler que vous me qualifiez par une expression dépourvue de sens.

Jean-Pierre Poccioni a écrit:

Je ne vois aucune susceptibilité dans le fait de vous signaler que vous me qualifiez par une expression dépourvue de sens.

elle n'est pas dépourvue de sens, je reprend la critique de Pol Vandromme:Un livre court, une petite centaine de pages à peine, mais résolument d’avant garde qui entre paranoïa et onirisme réduit le récit à une obsession de nostalgie rageuse

J'avais évidement noté cette expression magnifique de Vandromme mais relisez et voyez à quoi ( et non à qui ) elle s'applique ! De même l'expression "humide et sombre" s'applique plus facilement à une maison qu'à un nouveau né au sujet duquel elle perdrait tout son sens pour n'en plus avoir.

Tenez pour terminer cette discussion une petite histoire drôle, celle du type qui dit à un ami: Ne vas surtout pas dans ce restaurant, la cuisine est infecte et les portions sont minuscules!

Toute comparaison avec votre dialectique serait pure coïncidence.

Bonsoir

merci de me sous- estimer, non! ne me répondez plus, j'en ai assez lu comme ça sur ce site. bonsoir!

C'est fini !

Majalis après avoir frappé s'est retirée drapée dans sa dignité offensée. Refus de messages privés, annonce de refus de dialogue.

Nous sommes punis!

Mais vous avez bientot fini de m'accabler ainsi! que vous ai-je fait pour endurer tant de véhémence! de tout façon je cesse tout dialogue de la sorte si on me répond encore de cette manière.
Comment voulez vous que je puisse accepter de tels remarques, c'est insensé.

Arrêtez un peu ce psychodrame !

Vous n'aimez ni mon roman ni mon style. Bon, personne n'en mourra et on peux faire avec, il suffit d'un peu de distance.

Respirez un grand coup ou buvez un verre et calmez-vous !

Mon « pffft » répétant le curieux et déplacé « pffft » de Majalis était de l'humour bien entendu.

Bon, je fais la synthèse et je propose le calme olympien !!!

1) Majalis a apprécié le roman de J-P Poccioni, mais regrette que l'écriture ne soit pas plus « élaborée ».

2) J'ai montré la confusion des sens et ai révélé que par le mot « élaborée » Majalis voulait parler de complexité. Le terme de Majalis était donc, sans doute, inadéquat.

Pas de quoi créer encore de longs débats me semble-t-il !

Tout à fait d'accord !