Textes de Ahmedelya

Toutes les instances gardent le silence !
Manipulées à outrance sous l'emprise de la force !

Finie l'ère des droits de l'homme, des ONG et de la sagesse.
Les habitants de Gaza subissent des vagues de détresse.

Le temps s'arrête, la terreur est à la tête,
D'un monde en perte de tête.
La survie est au plus fort !
Les autres humains soumis à la mort.

Des armes détruisent toute vie,
Des avions tel un éclair survolent les toits,
Des machines soufflant le chaud et le froid,

Tels des réptiles à l'assaut de leurs proies !
Semant la mort,exterminant femmes,vieux et enfants sans voix!

Eaux, électricité, verdures, musées !

Des épisodes horribles se succèdent,
Du matin au soir, sans répit ni regret, sans que personne ne l'entende!

Une politique sans coeur et sans raison

Règne en maîtresse,
Appelant à la détresse !

Des terres enflammées, des bâtisses en ruines,
Des coeurs en abîme, des âmes en soupirs,
Une véritable apocalypse ! c'est le temps de mourir !

Des commandes de fusées,
Des militaires dopés, avides de sang et de carnage !
La raison et le sentiment ne sont plus à la page !

Des voix d'acide sans âmes qui exterminent toute verdure
Génèrent génocide d'un peuple dont la chasse perdure.

Une nouvelle charte s'installe :
Augure d'un monde en pleine douleur,de toutes les couleurs!
Entrant dans une ère dramatique, consécration de la terreur!
Droits à l'erreur, à la terreur !point de pudeur!



Droits à la mort, au vol et au viol !


Des rituels d'un monde apocalyptique,
Des paradoxes déontologiques, politiques et sociologiques.


Auteur:El yaagoubi ahmed
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Corps, ta logique échappe à tout calcul
Que tu sois d’une race ou d’une autre tu t’articules
Tu es sensible à des pulsations que tu conjugues
Même éloigné de ta muse qui te subjugue
Tu parles une langue que tous les corps maîtrisent
Pour se sentir réconforté et à l’aise, si loin soit ta muse
Ta vie puise sa sève des corps d'autrui
Épouse, amante, Muse, Leila ou Jean-Louis
Ta chair m'est chère et me nourrit
Sans elle ma vie n'est qu'ennuies
Ton corps joint au mien n'est qu'un
Surtout quand il pleut tu m'étreins
Femme qui incarne bonté et beauté
Tu nous es source de vie et de sensualité
On s'abreuve à satiété pour nous combler
En délices qu'aucun fruit ne saurait ressembler
Tu es telle une abeille qui survole mers et terres
Pour se poser et bitumer sur mon parterre
Je te vois je te sens et m'en réjouis
je revis et renais de ton éclat qui m'éblouit

J'aime beaucoup la toute première ligne, très prometteuse.

Mais ce qui suit est nettement moins fort. Répétitif et assez banal, surtout les 8 dernières lignes que j'ai l'impression d'avoir déjà lues ou entendues mille fois.

Avis tout à fait personnel et sans prétention aucune. Je ne suis ni prof ni éditeur, juste un lecteur de passage.

Merci pour ton commentaire.
C'est l'un des moyens qui permet d'ajuster le tir et de chercher à se perfectionner.
Sache que j'ai posté le même poème sur plusieurs sites et forums.Donc c'est fort possible que vs l'ayez lu et relu sur plusieurs endroits.
ahmed

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