Encore une fois les belges à l'honneur à Cannes...

Mais oui mon cher Guy Mauve (quels sont encore votre vrai prénom et votre nom réel : vous me l'avez dit récemment, mais je les ai déjà oubliés !). je me trompe : vous n'êtes point, en effet, le spécialiste de la provocation.

La promotion des oeuvres : oui, c'est essentiel quand elles sont de qualité. Et cela vous dérange que des gens de qualité comme Jean-Pierre Poccioni parlent de leurs oeuvres ou que des membres postent des photos ou des textes (combien de fois ne l'avez-vous pas répété). Vous provoquez encore en disant cela. En fait tout vous dérange chez plusieurs autres : c'est viral. Il faudrait être un solitaire et triste étron pour que vous daignez vous y intéresser : car lui au moins aurait le mérite de ne jamais parler de ses éventuelles richesses intérieures. Sa souffrance le désignerait à votre intérêt. Facile en plus quand l'on endosse encore un pseudo d'être virtuel.

Prenez seulement le temps de descendre vers l'autre et de lire, tenez, un roman de Jean-Pierre Poccioni. C'est son vrai prénom et nom entre parenthèses.

Cela vous fera peut-être le plus grand bien et vous permettra de vous éveiller quelque peu à l'oeuvre d'un membre, ne fût-ce qu'une fois. Non ?

Tout cela ne nie la valeur de plusieurs de vos apports.

Allez bisouilles ma petite Guimauve ! On dit une guimauve je pense (mot féminin si je ne me trompe)

Merci de revenir aussi au sujet du topic.

Jipi a écrit:

Mais oui mon cher Guy Mauve (quels sont encore votre vrai prénom et votre nom réel : vous me l'avez dit récemment, mais je les ai déjà oubliés !). je me trompe : vous n'êtes point, en effet, le spécialiste de la provocation.

La promotion des oeuvres : oui, c'est essentiel quand elles sont de qualité. Et cela vous dérange que des gens de qualité comme Jean-Pierre Poccioni parlent de ses oeuvres ou que des membres postent des photos ou des textes (combien de fois ne l'avez-vous pas répété). Vous provoquez encore en disant cela.

Prenez seulement le temps de descendre vers l'autre et de lire, tenez, un roman de Jean-Pierre Poccioni.

Cela vous fera peut-être le plus grand bien et vous permettra de vous éveiller quelque peu à l'oeuvre d'un membre, ne fût-ce qu'une fois. Non ?

Tout cela ne nie la valeur de plusieurs de vos apports.

Allez bisouilles ma petite Guimauve ! On dit une guimauve je pense (mot féminin si je ne me trompe)

Merci de revenir aussi au sujet du topic.

De descendre

Tiens pour le fou rire :

Oh, ben ça marche pas, normalement c'est le smiley à la Kalachnikov ;-)

Une guimauve est une bonne pâte

Mon message, pas achevé, a été largement complété, ce qui vous permettra de rire davantage !

Signé : La bande des non-étrons ! Ou des neutrons !

Guimauve;

Je suis toujours prêt à échanger sur mon "état" d'écrivain mais je ne pressens chez vous aucun vrai désir d'échange.

J'affirme quant à moi qu'il existe des artistes corrompus par le goût de l'argent et d'autres qui ne le sont pas.

J'affirme que réduire l'éditeur au rôle de vendeur est une insulte injuste pour ceux qui ont une toute autre idée de leur vocation et j'en connais un certain nombre.

Et j'affirme que jouer sur les mots pour laisser entendre que l'auteur que je suis est tout aussi commercial* qu'un autre est une médisance.


* Commercial :

1) qui a rapport avec le commerce.

2) péjoratif : qui est fait dans un but lucratif.

Cela s'appelle la polysémie un phénomène linguistique que vous affectez d'oublier de temps à autre...


Pour revenir au débat et spécialement à l'opposition documentaire/fiction voici un lien qui pourrait élever la réflexion, même si genre et thème sont différents:

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Jipi a écrit:

Je n'ai pas vu ENTRE LES MURS et ce film ne me motive pas du tout.

Plusieurs amis cinéphiles et professeurs l'ont vu et m'ont tous dit la même chose : on oublie que le cinéma est un art or ce film est tout sauf de l'art disent-ils. Voilà qui me suffit à ne pas me précipiter à le découvrir...

Vaste débat : personnellement je pense que le rôle d'une oeuvre est de dépasser le cadre du simple témoignage ou engagement.

J'aime qu'une oeuvre quelle qu'elle soit soit transcendée par une vision artistique.

Je pense que ce film a été plébiscité d'une manière outrancière par la presse, mais comme je ne l'ai pas vu...

As-tu lu la critique de Jacques Morice dans Télérama ? Je partage tout à fait son point de vue.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Ton lien est-il correct François ? Virgules ?

Jipi a écrit:

Ton lien est-il correct François ? Virgules ?

C'est un copier-coller de l'url... et le lien fonctionne en tout cas, pas chez toi ?

Que François se trouve en harmonie avec cette critique est une chose qui d’une certaine manière ne se discute pas. C’est un état de la sensibilité d’un spectateur et comme tel respectable dans la mesure où le dit spectateur à fait ici, et très souvent, montre d’une pensée solide et digne de retenir l’attention.


Cependant je rappelle qu’en matière de critique la disposition préalable, disons le préjugé favorable, est très importante. Elle est même une des causes des multiples contradictions du genre.
Or il se trouve que le film est la continuation d’un roman soutenu (le mot est faible) par Télérama qui lui attribuera le Prix France-Culture/Télérama, prix généralement attribué soit à P.O.L soit à Gallimard/Verticale. Ce roman a été publié chez... Verticale, maison dont chacun sait qu’elle n’édite que des chefs d’œuvre...
Personne ne pouvait imaginer une seconde une mauvaise critique de Télérama ou de France Culture.
On observe donc une absence totale de sens critique. Par exemple trouver cocasse le passage sur le subjonctif imparfait ne dispensait pas de faire observer qu’il est rarement enseigné au collège et jamais dans ce type de classe.


Ma réponse implique que le lien fonctionne !

J'ignorais tout cela, j'ai vraiment regardé ce film sans trop d'apriori car je n'avais pas du tout suivi son épopée médiatique à Cannes et au départ je ne savais même pas qu'il était tiré d'un roman.

Je comprends que, sachant ce que tu sais, la critique de Télérama te laisse songeur mais je suppose alors que tu n'accordes aucun crédit aux autres critiques de cette revue, parce que s'ils sont coupables d'un tel manque de liberté critique pour ce film, pourquoi seraient-ils plus fiables dans les autres cas ?

Je note aussi qu'il n'y a pas que Télérama qui a encensé ce film. A nouveau, je ne le savais pas avant de le voir, donc ça n'a pas influencé mon propre jugement. Mais toi comment expliques-tu (et je pose la même question à Guimauve) cette quasi unanimité des médias ? Et comment expliques-tu qu'ils puissent tous se tromper ? D'habitude ils se font plutôt un devoir de ne pas être d'accord entre eux, notamment lorsqu'il s'agit des Palmes d'Or.

Enfin bon, je me rends compte en me relisant que mes questions sont d'un intérêt très relatif, donc ne te sens pas obligé d'y répondre, je ne me vexerai pas.

Citation :

Je suis toujours prêt à échanger sur mon "état" d'écrivain mais je ne pressens chez vous aucun vrai désir d'échange.

Ah, vous pressentez... que répondre à cela ? si en plus vous pensez pour moi...

Citation :

J'affirme quant à moi qu'il existe des artistes corrompus par le goût de l'argent et d'autres qui ne le sont pas.

Mais je ne dis pas le contraire, ce n'est pas du tout le sujet. Je dis simplement que votre dualité art / commercial ne marche pas puisque malgré tout vos livres, vous les éditez et vous les... vendez. Après que vous ne courriez pas après la gloire et l'argent, c'est tout à fait autre chose.

Citation :

J'affirme que réduire l'éditeur au rôle de vendeur est une insulte injuste pour ceux qui ont une toute autre idée de leur vocation et j'en connais un certain nombre.

Pourquoi tant de violence ? je n'insulte personne contrairement à la personne qui me qualifie d'étron... Bien sûr qu'un éditeur fait un travail formidable pour découvrir, soutenir, aider les auteurs. Mais s'il ne vend pas de livres ? que se passe t-il ? vous voyez bien qu'on ne parle pas de la même chose. C'est juste votre dichotomie commercial / art qui m'agace, rien de plus.

Citation :

Et j'affirme que jouer sur les mots pour laisser entendre que l'auteur que je suis est tout aussi commercial* qu'un autre est une médisance.

Bon, et bien tant pis, on ne se comprends pas une fois de plus, malgré l'anaphore ;-)

Citation :

* Commercial :

1) qui a rapport avec le commerce.

2) péjoratif : qui est fait dans un but lucratif.

Cela s'appelle la polysémie un phénomène linguistique que vous affectez d'oublier de temps à autre...

Ok, très bien, je suis un vermiceau, vous avez mille fois raisons.

Citation :

Pour revenir au débat et spécialement à l'opposition documentaire/fiction voici un lien qui pourrait élever la réflexion, même si genre et thème sont différents:

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Mon dieu ! un lien ! diantre ! fichtre !

[mode humour On, au cas ou]

Je cours le lire ;-)

Pour revenir au film, et à la collusion Verticale, télérama, france culture, c'est sans doute vrai... et faux. Bien sûr que le système médiatique fonctionne comme cela et dans tous les domaines, je connais bien celui de la musique par exemple et je pourrais vous dire ce que les médias mettront en avant à la rentrée... mais je trouve quand même effrayant de penser que tout fonctionne comme cela... Qu'il n'y a pas de libre arbitre... Vous avez fait de la radio, certes périphériques, vous savez bien que l'on peut oeuvrer malgré les pressions... Voir le mal partout me dérange.

Je trouve la question de françois intéressante, d'un côté être critique, de l'autre, leur nier leur indépendance...
J'ignore pourquoi une telle unanimité. Une hypothèse cependant, l'école va tellement mal depuis des années que l'on se donne bonne conscience...
Pourquoi un tel succès alors que Mariana Otero avait suivi la vie d'un collège sur une année, un documentaire donc, sans aucun commentaire, juste le montage dans La Loi du Collège en 1993 ( [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ). Mais là c'est plus séduisant, on fait jouer des gamins, de plus on inverse leur rôle dans la vie réelle, c'est du cinéma, il ya un côté glamour et avec Cannes tout s'est emballé...
Après si c'était chronique d'un succès annoncé, pourquoi les producteurs n'appliquent-ils pas la même recette ? 80 % des films sont des adaptations et pourtant tous ne sont pas des succès...

J'ai relu la critique de télérama...

Et encore une fois, je ne nie pas les qualités cinématographiques du film, son dynamisme notamment.

Je pense que j'aurais une autre vision du film si cela ne me touchait pas de près. Il faudrait que je le revois, mais il y a tant de chose à voir ;-)

Mais le "il incite à parler" me fait sourire...

La critique de Morice c'est un peu Martine qui découvre l'école...

Pour évoquer la Shoah et le cinéma, j'avais rencontré Lanzmann qui récusait totalement le terme de documentaire pour son Shoah...

Monsieur Guy Mauve (à défaut de ne toujours pas connaître votre identité), personne ne vous a qualifié d'étron (savoir comprendre : 0/5 comme à l'école !).

Il y a seulement que soit vous ne semblez pas comprendre certains messages ou que soit vous ne voulez pas en comprendre d'autres.

Si dès que certains membres ouvrent la bouche, vous semblez pratiquer l'imposture du mâle agacé ou que vous deveniez fréquemment hargneux et provocateur, vous ne serez plus le bienvenu. Et encore plus lorsque l'on pratique insidieusement la polémique provocatrice (formule pléonastique) quasiment perpétuelle à l'égard de certains membres (peut-être plus qualifiés que vous dans certains domaines : pour cela, c'est l'humilité qui vous manque ; il y a des domaines que je maîtrise pas du tout et je n'ai pas à donner mon avis sur tout : voir par exemple l'opéra. Comme vous êtes plus qualifié que moi dans d'autres.).

Chacun a le droit d'exprimer un avis personnel et l'expression d'un avis différent du vôtre ne doit pas être l'occasion de vitupérer souvent hargneusement votre interlocuteur. Je confirme que l'échange véritable et respectueux, comme le souligne Jean-Pierre Poccioni, n'est pas votre fort. Votre mode de fonctionnement semble relativement autistique ou nombrilesque par rapport à ce que certains membres peuvent échanger ou apporter.

J'ai d'autres choses à faire que de relire les nombreux messages contenant de nombreux boudins (plus gros que des brochettes !) de hargnes à l'égard du contenu des messages de certains membres. Ne jouez pas non plus la vierge effarouchée.

Si je dois encore intervenir et si vous polémiquez encore, je vous enverrai voir les télétubbies pendant quelques semaines.

Débat clos.

Je demande que l'on revienne au sujet des « belges à l'honneur à Cannes » sinon le dictateur fermera le sujet dans un premier temps.

L'administrateur.

François,

Encore une fois je ne cherche nullement à démontrer que tu aurais mal perçu ce film. De plus la discussion portait me semble-t-il sur l'école, française en l'occurrence et non sur les mérites de l'oeuvre qui en parle.

Sujet qui ne fut qu'esquissé parce que recouvert par des digressions, dont je suis en partie responsable par une de mes remarques, et par les interventions polémiques stériles par définition.

De ce fait le sujet est pour moi, clos.

Pour en revenir aux belges à Cannes cette année, le film DE ROUILLE ET D'OS semble avoir été très bien accueilli.
Film franco-belge de Jacques Audiard avec l'acteur flamand remarquable de RUNDSKOP.

Mais je n'en sais pas plus.