La Police est en période de recrutement. Objectif : augmenter le nombre de femmes dans la police.
Après toute une série de sélections, d'entretiens et d'essais, il ne reste plus que trois candidates.
Pour le choix final, on place les candidates devant une porte métallique, et on leur remet un pistolet.
L'Officier instructeur leur dit alors :« Nous devons être certains que vous suivrez nos instructions, et ce, quelles que soient les circonstances. Voici donc votre dernière épreuve : Derrière cette porte, vous trouverez votre mari assis sur une chaise, et vous devrez le tuer. »
La première candidate dit : « Vous n'êtes pas sérieux ? Je ne pourrai jamais tuer mon mari. »
L'Officier lui répond : « Alors, vous n'êtes pas la femme faite pour ce travail. Vous êtes renvoyée. »
Il donne à la deuxième candidate les mêmes instructions.
Celle-ci prend l'arme qu'on lui tend et entre dans la salle. Tout est calme pendant environ cinq minutes, puis la femme revient, les larmes aux yeux : « J'ai essayé, mais je n'y arrive pas : je peux pas tuer mon mari ! ».
L'Officier lui dit : «Vous non plus, vous n'êtes pas faite pour le job. Emmenez votre mari et rentrez chez vous. »
Enfin, c'est le tour de la troisième. On lui donne les mêmes consignes.
Elle prend le pistolet, et entre dans la salle. On entend des tirs : un coup, puis un deuxième, puis un autre. Ensuite, on entend des cris, des coups contre les murs, le fracas de meubles qui se brisent. Et encore des cris, des hurlements-même...
Après quelques minutes, tout redevient calme. La porte s'ouvre lentement, et la femme sort.
Elle essuie la sueur de son front et lance :
« Qui c'est le cave qui a fourré des balles à blanc dans le pistolet ! Mon mari, j'ai dû l'achever avec la chaise ! »