HENNING MANKELL

J'arrive un peu tard, mais vaut mieux tard que de ne pas  parler de  cet auteur suédois.

« Le grand maître du polar venu du froid » (Le Monde)

Un regard très critique sur la société suédoise : dénonciateur des inégalités.

Oeuvre immense, mais inégale, et pas seulement dans le domaine du polar.

À découvrir... notamment les romans avec le commissaire Wallander, « un policier taciturne, qui ne cesse de douter, un homme de plus en plus dépressif et désenchanté au fil des ans.».

ON me l'a conseillé mais j'avais quelques doutes, rapport à ce dont nous avons tous déjà parlé concernant la relativité de la qualité du polar.

Il n'y a aucun doute à avoir Gosayn.

« Il n’existe pas plus de différence entre un roman policier et un roman tout court qu’il n’existe entre un bon et un mauvais livre. » (Le Monde).

Je confirme donc qu'il y a de très bons polars et Mankell est très bon !

Il faut arrêter ce débat inutile sur le plan qualitatif. Bien entendu il faut tenter de reconnaître le haut de gamme dans le domaine du polar (voir ma nouvelle rubrique à ce sujet). Il y a aussi, comme pour tous les ouvrages de littérature, de nombreux mauvais polars.


VOIR ICI (Je dois poursuivre...) :


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Il ne s'agissait pas de lancer une polémique, seulement de dire que l'on m'a souvent parlé de cet auteur et que je n'y ai pas tellement prêté attention, y voyant un effet de mode; le fait que tu l'évoques m'encourage à m'y attarder. Concernant l'existence de polar de qualité, tu prêches un converti, même si ces dernières années j'ai élevé mon niveau d'exigence en matière littéraire et que je trouve désormais rarement mon compte dans ce genre.

Va voir dans mon lien et lis pour commencer :

1) Le dernier lapon d'Olivier Truc

2) L'île des chasseurs d'oiseaux de Peter May


Tu m'en diras des nouvelles !!!


Je suis aussi de plus en plus persuadé que pour les polars étrangers, les traducteurs ne sont pas toujours à la hauteur et ce indépendamment de la qualité littéraire variable comme tout roman d'ailleurs.