Comme souvent quand j'ai un peu trop rencontré de textes aussi médiatisés que médiocres j'éprouve le besoin de lire ou relire un de ces auteurs que seuls des ignorants ou de piètres lecteurs pourraient mépriser, une de ces valeurs que des générations de lecteurs de qualité ont installés là où ils sont, au sommet.
Cette fois ci j'ai songé à deux immenses écrivains sans établir d'autre rapport entre eux que leur génie:
J'ai lu Les mange-pas-cher de Thomas Bernhard et A travers la vitre de Natsumé Sôseki.
Avec admiration et respect !