Ce bois dont tu es fait...

Très belle réflexion à méditer je trouve ! Et d'un autre côté les vrais amis sont tellement rares : celui que tu peux réveiller à deux heures du matin parce que tu as un problème et non celui qui sera tout heureux de venir parce que tu l'invites à un repas... D'accord avec toi pour ce plaisir vain d'être admiré. D'un autre côté l'homme a besoin de reconnaissance et la société l'oublie très souvent.

Oui l'homme a besoin de reconnaissance et la société l'oublie souvent. Mais n'a-t-il pas davantaga besoin d'amis que de "reconnaisseurs" ? Assurément oui ! Et pourtant il s'acharne à chercher cette reconnaissance, souvent futile.

Quel est donc ce moteur qui pousse l'homme à privilégier le futile à l'essentiel ?

Je suis d'accord avec Jim, même si j'ai moi-même plusieurs fois succombé à cet acharnement.

Attendre la reconnaissance des autres, au fond, c'est aussi idiot que d'être jaloux en amour. C'est se mettre soi-même au centre de tout, et c'est se mettre en position de demandeur : deux choses à faire si on veut être sûr d'être un éternel frustré.

A ce sujet : lire Anthony de Mello.

Jipi a écrit:

Et d'un autre côté les vrais amis sont tellement rares : celui que tu peux réveiller à deux heures du matin parce que tu as un problème et non celui qui sera tout heureux de venir parce que tu l'invites à un repas...

En relisant cette réflexion de Jipi, je me dis que des "vrais amis" comme ça, j'en ai bien peu.
Une autre question est: pour qui, pour combien de personnes, suis-je, moi, ce vrai ami?

Pas trop quand même, j'espère, car j'aime bien dormir de temps en temps! :lol:

En Belgique, on dit qu'il y a les copains et les amis.
Dans mes moments très douloureux j'ai vu mes vrais amis.
Eux m'ont soutenue et aidée la famille hmm, j'ai due m'en méfier au décès de mon époux Max, suite a son art. Ouf, je ne les ai pas vu, ça fait depuis très longtemps... (sauf du côte de ma soeur) sur qui j'ai pue compter en pleine confiance et honnêtes.
Aujourd'hui c'était la Toussaint, je me sentais très triste
Une vrai amie et son compagnon a fait 360 km aller/retour pour me faire passer un bon moment avec eux après avoir été au cimetière le matin.
C'est pas la première fois.
Les copains on en as plein, la famille on ne choisit pas, mais il y a les quelques vrais amis et eu je ne les oublient pas.....

Mireille... en ce jour... je vous ai envoyé un petit MP...
Je pense à Max !

Merci de vôtre soutien Jipi,

J'ai lue vôtre MP,
l'amour et la vrai amitié est la plus grande richesse dans nôtre vie......

Max restera toujours vivant dans nôtre coeur.....

Et c'est sincère Mireille...

je sus émue en lisant les mots de Mireille qui sont si vrais, les amis, il y en a peu, et on voit ceux qui restent quand on a des soucis, une maladie, un départ, un décés...
Souvent un ami reste dans l'ombre quand tout va bien et est plus présent quand tout va mal. A la cinquantaine, je m'aperçois que j'ai peu d'amis : des connaissances oui, des amis non...et c'est bien dommage.