Je suis partagé entre une analyse naïve me laissant à penser que vulgarisation peut aussi ouvrir de nouvelles portes, rendant accessible certains ouvrages à un jeune public, pas nécessairement "lobotomisé"( nous avions bien, enfants des éditions raccourcies de certains classiques, des "versions d'apprentissage"), et une analyse plus pessimiste y voyant un pas de plus vers l'Idiocracie.
Autre point plus anecdotique: pour avoir entendu Eco baver sa science des questions économiques, cette nouvelle édition collera à son esprit vulgaire.