Oui, c'est la deuxième phase alors que les libraires indépendants se faisaient déjà laminer et virer des centres-ville. Sur Toulouse, un des plus gros établissements, situé place du Capitole va fermer pour cause de revente des murs à un fond d'investissement qui va y coller une boutique Orange ou SFR, ou je ne sais quoi... Les plus petits doivent vivoter de la même manière que le gérant de l'article dont vous avez posté le lien. La première étape a été la révision des baux. Certains ont sauvé les meubles en ralliant une enseigne, ceci néanmoins au détriment de la politique de la maison, et là vous assistez avec étonnement à la transmutation du rayon littérature en rayon manga.